Futur conditionnel
de Xavier Daugreilh
Mise en scène de Nicolas Briançon
Avec Gwendoline Hamon, Roland Marchisio, Marie Piton, Nicolas Briançon
Un futur problématique...
Ah la là, cher lecteur, tu ne te rends pas toujours bien compte, je crois, à quel point il est parfois dur, difficile, carrément problématique d’être critique. Je dirais même plus, dans ce cas, c’est la quadrature du cercle (des amoureux du théâtre), juges-en : comment être critique avec une pièce quand deux tiers d’une salle, pleine aux trois quarts, rient ? Tu comprends mon problème ? 2/3 x 3/4 = 6/12 soit 50% de la jauge contre 50% de la jauge : sciant, non ? L’auteur, à mon humble avis, serait sympa de poser moins de ces
pénibles casse-têtes à la Presse et à ses Honorables Lecteurs, comme lorsqu’il reçut le Molière de la meilleure pièce comique en 1997 pour Accalmies passagères. Cela dit, à toi de choisir ton camp, lecteur : celui des deux-tiers, des un-tiers ou des cinquante pour cent ? ;-)) Tiens-moi au courant, please ;-)
pénibles casse-têtes à la Presse et à ses Honorables Lecteurs, comme lorsqu’il reçut le Molière de la meilleure pièce comique en 1997 pour Accalmies passagères. Cela dit, à toi de choisir ton camp, lecteur : celui des deux-tiers, des un-tiers ou des cinquante pour cent ? ;-)) Tiens-moi au courant, please ;-)
Philippe Dohy
26/01/2003
PARIS
Mathurins
Mise en scène de François Nambot
1941. La France est sous occupation allemande. Arletty, 43 ans, fait la rencontre d’un officier allemand Hans Jürgen Shring. Entre eux, l’amour naît et la correspondance épistolaire commence pour s’éterniser sur des centaines de lettres. A la fin de la guerre, Arletty connaît la...
L'avis de Joseph Agostini
Mathurins
PARIS
Arletty, un cœur très occupé
de Jean-Luc VoulfowMise en scène de François Nambot
1941. La France est sous occupation allemande. Arletty, 43 ans, fait la rencontre d’un officier allemand Hans Jürgen Shring. Entre eux, l’amour naît et la correspondance épistolaire commence pour s’éterniser sur des centaines de lettres. A la fin de la guerre, Arletty connaît la...
L'avis de Joseph Agostini