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La recette se compose d’une magnifique quadra nymphomane et alcoolisée, à tendance anorexique, de sa fille boulimique et caractérielle, d’un jeune playboy un peu simplet, et d’un père, fan du King Elvis, réduit à l’état végétatif, et ayant pour unique trône son fauteuil roulant. Tels sont les ingrédients détonants de cette comédie dramatique de Lee Hall, auteur du fameux Billy Elliot. La mère, encore en pleine fleur de l’âge, veut profiter du bellâtre au physique d’athlète. Mais sa fille n’a de cesse de s’interposer avec le fauteuil roulant du pseudo-King au milieu de leurs ébats.
Une distribution sur mesure pour des comédiens justes, drôles et surprenants. La mise en scène rock’n roll de Régis Mardon ne laisse pas de répit, enchaînant les tableaux loquaces et surréalistes. Dans La Cuisine d’Elvis, le temps de la "femme-objet" est révolu et laisse place au règne de "l’homme-objet", dans toute sa splendeur. |
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Mis à jour le 25/07/2011
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