Après Pasolini : politique-visions

de Adel Hakim
Mise en scène de Adel Hakim
Avec Chad Chenouga, Malik Faraoun, Louise Lemoine-Torres
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Du 26/02/2007 au 24/03/2007
Du lundi au samedi à 20h.
Studio Casanova
Théâtre des Quartiers d'Ivry
69, av. Danielle-Casanova
94200 IVRY
Métro Mairie-d’Ivry
01 43 90 11 11
Site Internet
Loin d’être un hommage à Pasolini, ce spectacle tente d’appréhender notre début de XXIe siècle à travers le regard critique, polémique, toujours dérangeant d’un des grands esprits du siècle révolu.
Il y a un avant et un après Pasolini. Pasolini, plus que tout autre, s’est intéressé avec une rare intensité à toutes les formes d’expressions artistiques et s’est adonné autant à la poésie qu’à la littérature, au cinéma, au théâtre, à la critique et à l’analyse politique. Il déclare aussi avoir une grande passion pour la peinture et la musique qu’il a utilisées de manière magistrale comme sources d’inspiration pour son uvre cinématographique. Pasolini dont la vie et la mort furent tels des fragments d’une uvre d’art, est le modèle d’un artiste engagé engagé corps et âme jusqu’à en perdre la vie, dans les combats de la Cité. Pas un instant il ne cesse, à travers ses uvres et ses analyses, d’interroger la place de l’artiste dans le dispositif social et dans les luttes contre les injustices. Que ce soit dans ses films documentaires (Une Orestie africaine, Les Murs de Sanaa, La Rage, Enquête sur la sexualité...), dans ses essais théoriques, ou dans une pièce telle que Bête de style qui montre l’implication d’un poète, Jan Palach, aux prises avec les événements politiques de son temps, on ne cesse de voir Pasolini lui-même faire uvre artistique et/ou philosophique de son observation de ces réalités. Et sans cesse il nous renvoie à cette nécessité de le faire à notre tour, car l’art, et en l’occurrence le théâtre, ne peut perdre de vue cette fonction qui lui est inhérente : être un miroir critique tout autant qu’un espace de partage des événements de notre actualité, des événements conjoncturels qui nous entourent, et de leurs rapports génériques avec la condition humaine.Loin d’être un hommage à Pasolini ce que sans doute il aurait détesté ce spectacle, tout en interrogeant la radicalité douloureuse, parce qu’elle le confine à la solitude, autant que sulfureuse d’un poète, tente d’appréhender, de faire ressentir notre début de XXIe siècle à travers le regard dérangeant, contradictoire, insaisissable, souvent irritant parce qu’extrême et ambigu, d’un des grands esprits du siècle révolu.
12/03/2007

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