LES CHRONIQUES DU FESTIVAL D'AVIGNON 2019
Lalla Aicha le chant berbère de l'eau
Avec Mama Khan (en alternance)
Fémniniste avant l'heure, Lalla la recluse se souvient de chaque moment de son existence. Elle se revoit jeune fille, amoureuse lançant sont chant vers le beau jeune homme qui la dévisage. On assiste au bonheur de son mariage mais aussi au choc de sa répudiation. Errante alors, privée de son unique enfant, elle trouve refuge dans une grotte.
Ça tient de la magie, la comédienne Khadija El Mahdi, se transforme sous nos yeux en cette grand'mère pas commode, blessée par la vie, mais vivante et sûre d'elle. L'harmonie qui existe entre cette mamie et le musicien nous emporte dans cette histoire vraie, nous embarque vers un territoire lointain avec ses us et coutumes, happés nous sommes. Qu'ils sont beaux tous les deux !
C'est beau, c'est magique. J'ai beaucoup aimé.
Ça tient de la magie, la comédienne Khadija El Mahdi, se transforme sous nos yeux en cette grand'mère pas commode, blessée par la vie, mais vivante et sûre d'elle. L'harmonie qui existe entre cette mamie et le musicien nous emporte dans cette histoire vraie, nous embarque vers un territoire lointain avec ses us et coutumes, happés nous sommes. Qu'ils sont beaux tous les deux !
C'est beau, c'est magique. J'ai beaucoup aimé.
Geneviève Brissot
10/07/2019
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
Lucernaire
PARIS
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard RauberMise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien