Psaumes#2
de Heddy Maalem
Mise en scène de Heddy Maalem
Avec James Carlès
Ce deuxième volet de la trilogie nous marque par sa forme esthétique semblable à un tableau.
Il apparaît très clairement que ce solo est inspiré du tableau d'Henri Matisse. A tel point que l'on voit ce tableau mouvant, vivant.
Sur des plans monochromes contrastés, James Carles active la matière, s’immisce à l’intérieur et extraie peu à peu de sa chair une mémoire chargée. Blanc sur noir, l’énergie circule dans son corps, nettoie et digère cette lésion profonde, tout est question de « regard ».
Comme l’œuvre d'Henri Matisse, sa silhouette se découpe nettement sur les couleurs vives découpées et la musique semble cicatriser les tissus arrachés.
Il nous révèle la puissance du noir, aussi lumineux que le blanc, peut-être même davantage car c'est dans l'obscurité que l'on distingue le mieux la flamme. Il s'apaise lentement dans cette immense tissu blanc et disparaît dans un cocon immaculé.
Ce deuxième volet de la trilogie nous marque par sa forme esthétique semblable à un tableau. Nous y retrouvons cette forte musicalité organique, propre au flot fluctuant de James Carles, et ce regard adressé, saisissant. Le thème des ancêtres et de l'histoire africaine est à nouveau dépeint dans ce cadre visuel précis où le geste se libère, spontané et éphémère.
Sur des plans monochromes contrastés, James Carles active la matière, s’immisce à l’intérieur et extraie peu à peu de sa chair une mémoire chargée. Blanc sur noir, l’énergie circule dans son corps, nettoie et digère cette lésion profonde, tout est question de « regard ».
Comme l’œuvre d'Henri Matisse, sa silhouette se découpe nettement sur les couleurs vives découpées et la musique semble cicatriser les tissus arrachés.
Il nous révèle la puissance du noir, aussi lumineux que le blanc, peut-être même davantage car c'est dans l'obscurité que l'on distingue le mieux la flamme. Il s'apaise lentement dans cette immense tissu blanc et disparaît dans un cocon immaculé.
Ce deuxième volet de la trilogie nous marque par sa forme esthétique semblable à un tableau. Nous y retrouvons cette forte musicalité organique, propre au flot fluctuant de James Carles, et ce regard adressé, saisissant. Le thème des ancêtres et de l'histoire africaine est à nouveau dépeint dans ce cadre visuel précis où le geste se libère, spontané et éphémère.
Adèle Léonie
13/11/2018
PARIS
Théâtre Poche Montparnasse
Entre scandale et subtilité : les Diaboliques à la barre
de Christophe Barbier D'Après Jules Barbey D'Aurevilly
Mise en scène de Nicolas Briançon
Lorsque Jules Barbey d’Aurevilly est cité à comparaître devant un tribunal d’instruction pour outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs, le monde littéraire retient son souffle. Son recueil de nouvelles, “Les Diaboliques”, est accusé de véhiculer des idées immorales et...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
Théâtre Poche Montparnasse
PARIS
de Christophe Barbier D'Après Jules Barbey D'Aurevilly
Mise en scène de Nicolas Briançon
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PARIS
Lucernaire
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard Rauber
Mise en scène de GÉrard Rauber
Lucernaire
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de Gérard Rauber
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PARIS
Lucernaire
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard Rauber
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PARIS
Théâtre Poche Montparnasse
Entre scandale et subtilité : les Diaboliques à la barre
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PARIS
A la galerie Hélène Aziza
La folle passion de Franz Liszt et Marie D’Agoult
de Pierre Bréant
Mise en scène de Philippe Mercier
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de Pierre Bréant
Mise en scène de Philippe Mercier