Oh les beaux jours

de Samuel Beckett
Mise en scène de Lucille Arnaud
Avec Scarlett Wilson, Nadir Brahmi En Alternance Avec André Lamorthe
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Du 29/12/2016 au 16/03/2017
Les jeudis à 21h15.
Darius-Milhaud
80, allée Darius-Milhaud
75019 PARIS
Métro Porte-de-Pantin
01 42 01 92 26
Site Internet
"Rien n’est plus drôle que le malheur" Samuel Beckett, Fin de Partie.
Winnie est enterrée jusqu’à la taille puis jusqu’au cou au beau milieu d’un désert, sous une chaleur insupportable. Personne en vue. Enfin si, Willie, son mari, mais qui ne lui répond pas vraiment. Les deux personnages assistent à leur lente agonie, sans issue possible, mis à part un revolver...
Habituellement au théâtre, il se passe quelque chose, un conflit doit être résolu. Dans Oh les beaux jours, le drame est qu’il ne se passe rien. Et pourtant, Winnie va se démener pour passer une excellente journée. Cette pièce quasi surréaliste est un hymne à la persévérance humaine où la tragédie se transforme sans cesse en comédie, la comédie en tragédie.
Habituellement au théâtre, il se passe quelque chose, un conflit doit être résolu. Dans Oh les beaux jours, le drame est qu’il ne se passe rien. Et pourtant, Winnie va se démener pour passer une excellente journée. Cette pièce quasi surréaliste est un hymne à la persévérance humaine où la tragédie se transforme sans cesse en comédie, la comédie en tragédie.
22/02/2017

PARIS
Comédie Bastille
de Alexandre Delimoges
Mise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini
Comédie Bastille

PARIS





Le Radeau de la Méduse
de Alexandre DelimogesMise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini