




Les Précieuses Ridicules
de Molières
Mise en scène de Michel Mourtérot
Avec Tommy Baillard, Nicolas Deconchat, Alexandre Gangl, Antonin Faure, Christian Fichaux, Paul Lemonnier, Michel Mourtérot, Davy Herbin Soby, Valentin Yvenou
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Jusqu'au 18/12/2016
Vendredi et samedi à 20h30, dimanche à 16h30 sauf relâche le vendredi 16 décembre.
Théâtre des Loges
49 rue des Septs Arpents
93500 PANTIN
Métro Hoche (ligne 5)
01 48 46 54 73
Ne ratez pas les dernières représentations de cette célèbre pièce de Molière jouée dans la plus grande tradition de la commedia dell'arte ! Drôle et enlevée, elle est jouée uniquement par de jeunes hommes dynamiques et talentueux.
Ancien lavoir-dont les parties les plus anciennes datent de la fin du XIXe siècle, puis garage abandonné, le Théâtre des Loges abrite une troupe depuis 26 ans. Elle propose chaque année un répertoire varié, revisitant les grands classiques du théâtre. Les précieuses ridicules, comédie en un acte et en prose, un des chefs-d'uvre de Molière (1659), fut peu jouée du vivant de l'auteur. Elle connut un grand succès par la suite, par sa critique burlesque et féroce des Précieuses, figures féminines du XVIIe siècle qui fréquentaient les salons mondains, en s'exprimant dans un langage maniéré et se targuant d'être très cultivées.
Cette pièce est actuellement présentée dans la plus pure tradition théâtrale de l'époque avec une particularité : tous les rôles féminins sont également joués par des hommes ! A l'époque de Molière,
cela était très courant lorsque les comédiennes venaient à manquer... Deux jeunes gens, La Grange et Du Croisy, sortent de chez Gorgibus, un bourgeois de province récemment arrivé à Paris. Ils sont très mécontents de l'accueil méprisant que leur ont réservé
Magdelon et Cathos, respectivement fille et nièce du vieillard. La Grange explique à son ami la manière dont il entend se venger des trop fières jeunes filles : en leur faisant rencontrer Mascarille,
son valet, qu'il compte faire passer pour un marquis. Les deux jeunes filles, maniérées et précieuses, rêvant de rencontrer un homme galant et romanesque de leur condition, vont tomber dans le piège...
Sur la scène pavée, se dresse une tribune de théâtre, pourvue d'un rideau de velours précieux, façon théâtre ambulant de l'époque de Molière. En arrière-plan, sur les côtés, des bancs et une petite
charrette où les comédiens costumés attendent leur tour de monter sur scène, dans une mise en scène façon commedia dell'arte.
Le texte truculent de Molière est mis en évidence, avec le langage maniéré des Précieuses, minaudant et utilisant le "r" accentué à chaque mot conjugué à un langage campagnard des plus imagés, poussant ainsi le burlesque et la farce à l'extrême. Les autres personnages se moquent et prennent le public à témoin tout en menant joyeusement leur vengeance.
Musique du XVIIe siècle avec du violon et de la flûte traversière, chaise à porteurs pour l'arrivée du faux marquis, masques typiques de la commedia dell'arte, costumes flamboyants, de bons comédiens... Tous ces ingrédients contribuent à une jolie mise en scène, respectueuse de la pièce.
Un plaisir de (re)voir cette comédie haute en couleurs ! Le public est conquis !
Cette pièce est actuellement présentée dans la plus pure tradition théâtrale de l'époque avec une particularité : tous les rôles féminins sont également joués par des hommes ! A l'époque de Molière,
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Sur la scène pavée, se dresse une tribune de théâtre, pourvue d'un rideau de velours précieux, façon théâtre ambulant de l'époque de Molière. En arrière-plan, sur les côtés, des bancs et une petite
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Le texte truculent de Molière est mis en évidence, avec le langage maniéré des Précieuses, minaudant et utilisant le "r" accentué à chaque mot conjugué à un langage campagnard des plus imagés, poussant ainsi le burlesque et la farce à l'extrême. Les autres personnages se moquent et prennent le public à témoin tout en menant joyeusement leur vengeance.
Musique du XVIIe siècle avec du violon et de la flûte traversière, chaise à porteurs pour l'arrivée du faux marquis, masques typiques de la commedia dell'arte, costumes flamboyants, de bons comédiens... Tous ces ingrédients contribuent à une jolie mise en scène, respectueuse de la pièce.
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Mary Matys
08/12/2016

AVIGNON
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Mise en scène de Jean-Louis Kamoun
Juste le titre entraîne la question "Pourquoi" ?Oui pourquoi le grand violoniste Paolo Levi refuse de jouer du Mozart et aussi pourquoi se braque-t-il en entendant du Mozart même dans la rue. Si un journaliste, un reporter lui pose la question interdite, le Maître se ferme, se fâche,...
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