C'est beau une ville la nuit
de Richard Bohringer
Mise en scène de Richard Bohringer
Avec Richard Bohringer, le Groupe Aventures
-
-

Du 08/07/2004 au 30/07/2004
A 22 heures.
Le Petit Louvre
23, rue Saint Agricol
84000 AVIGNON
(0)4 32 76 02 79
Tiré de son best-seller éponyme, un concert entre chants et poèmes.
Inspiré de son livre, C’est beau une ville la nuit, le spectacle poétique et musical de Richard ohringer est un voyage sous le soleil exactement. Sous le soleil d’où jaillit la vie intérieure de l’homme, insolente et foisonnante. Sous le soleil assassin de l’alcool, des plaies béantes de l’Afrique
et de la solitude. Bohringer se prend pour Rimbaud, comme tout artiste maudit qui se respecte. La différence d’avec pas mal de nos "voyants", c’est que lui saigne sur scène, entre rock syncopé ("je ne
suis pas de la syntaxe, je suis de la syncope"), funk endiablé, rythmes africains, et l’indomptable, l’inconsolable blues. Il y a l’Afrique, d’abord et avant toute chose. L’Afrique et sa négresse, l’Afrique
et son Sénégal de rites sorciers, l’Afrique qu’on nique en s’en foutant... Et puis, il y a les bas fonds de New York, lieux des lointaines errances, où le rock rugit et nous ramène en enfance...A noter l’excellence des musiciens du groupe Aventures qui l’accompagnent dans ce spectacle, musique et poésie mélées.
et de la solitude. Bohringer se prend pour Rimbaud, comme tout artiste maudit qui se respecte. La différence d’avec pas mal de nos "voyants", c’est que lui saigne sur scène, entre rock syncopé ("je ne
suis pas de la syntaxe, je suis de la syncope"), funk endiablé, rythmes africains, et l’indomptable, l’inconsolable blues. Il y a l’Afrique, d’abord et avant toute chose. L’Afrique et sa négresse, l’Afrique
et son Sénégal de rites sorciers, l’Afrique qu’on nique en s’en foutant... Et puis, il y a les bas fonds de New York, lieux des lointaines errances, où le rock rugit et nous ramène en enfance...A noter l’excellence des musiciens du groupe Aventures qui l’accompagnent dans ce spectacle, musique et poésie mélées.
Joseph Agostini
19/07/2004
Extraits. "A vingt ans, on veut mourir. A soixante, on veut rester". Bohringer le boxeur se défend à tout va,
pareil à un adolescent qu’un Dieu pervers déplumerait en lui laissant son âme en révolte. Il va mourir et il le sait, mais il continue de fumer l’air de nos
villes et de boire les paysages du soleil. Comme ça, pour rire. Mais avec tendresse. Pour transporter son public de fidèles dans un élan poétique, au cœur d’un
voyage imaginaire, d’un périple rougeoyant, il a raison de se prendre pour Rimbaud. Et nous aussi. "J’ai appris à écrire sous une tonnelle blanche la nuit, dans le silence, à la limite du cri, et mon cœur
battait au rythme des mots que je jetais comme des paysages dont la flamboyance me laissait pantelant".

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare
PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
de Jérémy ManesseMise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot

