EN TOURNÉE
EN PROVINCE
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Dot
Mise en scène de Juan Pablo Mendiola
Avec Joaquin Collado, Laia Sorribes
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Le 19/01/2016
Espace Aragon
19 bd Jules Ferry
38190 VILLARD-BONNOT
04 76 71 41 69
Site Internet
Fantaisie visuelle
La compagnie Maduixa débute à Valence en Espagne en 2004 avec des spectacles de rue pour tous publics. Sa volonté : conjuguer le théâtre, la danse, les arts plastiques et les nouvelles technologies. C’est avec le spectacle « Ras ! » qu’elle se fait vraiment connaître (et reconnaître) ; elle commence alors d’importantes tournées en France. A partir du spectacle « Consonnes », en 2011, elle décide de s’adresser au jeune public, tout en conservant sa ligne de travail interdisciplinaire. Sa dernière création « Dot », destinée aux enfants dès 4 ans, mais aussi aux adultes qui aiment en « prendre plein les yeux », associe de nouveau langage visuel, chorégraphie et vidéo.
L’argument est simple : Laia, une jeune fille, monte la garde devant un mur blanc qu’elle veut conserver immaculé. Mais voilà qu’arrive Dot, un garçon déluré, qui va s’amuser à parsemer des taches sur cet écran impeccable. Il entraîne alors Laia dans une chorégraphie fantaisiste, suivant les taches multicolores et les dessins qu’elles laissent apparaître. Le public plonge avec eux dans cet univers onirique où l’on peut jongler avec un point rouge, shooter dans un rayon jaune, sauter par-dessus une courbe violette ou ramper sous cubes verts… Vous nous suivez ? Non, c’est normal. Un spectacle comme « Dot » se voit mais ne se raconte pas. Si l’on vous promet un beau duo dansé, une vidéo inventive et colorée, intégrée à la chorégraphie, à la manière du Pixel de Mourad Merzouki, vous vous laissez tenter ? Car « Dot » est avant tout un superbe spectacle de danse. Les deux interprètes, Joaquin Collado et Laia Sorribes, exécutent une chorégraphie tonique, humoristique, mais surtout millimétrée : chaque mouvement est en parfaite adéquation avec la projection vidéo. Tous les deux sont synchronisés pour nous faire vivre la jolie petite aventure rêvée de leurs personnages. Entre parcours du combattant pour éviter une pluie de billes, escalader un enchevêtrement de rayons laser, jeux de balle et danse en liberté sur un éphémère dance-floor, ils ne cessent de bondir et rebondir pour notre plus grand plaisir ; et celui du jeune public, très réactif !
L’argument est simple : Laia, une jeune fille, monte la garde devant un mur blanc qu’elle veut conserver immaculé. Mais voilà qu’arrive Dot, un garçon déluré, qui va s’amuser à parsemer des taches sur cet écran impeccable. Il entraîne alors Laia dans une chorégraphie fantaisiste, suivant les taches multicolores et les dessins qu’elles laissent apparaître. Le public plonge avec eux dans cet univers onirique où l’on peut jongler avec un point rouge, shooter dans un rayon jaune, sauter par-dessus une courbe violette ou ramper sous cubes verts… Vous nous suivez ? Non, c’est normal. Un spectacle comme « Dot » se voit mais ne se raconte pas. Si l’on vous promet un beau duo dansé, une vidéo inventive et colorée, intégrée à la chorégraphie, à la manière du Pixel de Mourad Merzouki, vous vous laissez tenter ? Car « Dot » est avant tout un superbe spectacle de danse. Les deux interprètes, Joaquin Collado et Laia Sorribes, exécutent une chorégraphie tonique, humoristique, mais surtout millimétrée : chaque mouvement est en parfaite adéquation avec la projection vidéo. Tous les deux sont synchronisés pour nous faire vivre la jolie petite aventure rêvée de leurs personnages. Entre parcours du combattant pour éviter une pluie de billes, escalader un enchevêtrement de rayons laser, jeux de balle et danse en liberté sur un éphémère dance-floor, ils ne cessent de bondir et rebondir pour notre plus grand plaisir ; et celui du jeune public, très réactif !
Caroline Vernisse
24/01/2016
Dates : Espace Aragon, Villard-Bonnot (38), le 19 janvier 2016 ; salle Aristide-Briant, Saint-Chamond (42), le 27 janvier 2016 ; Château Rouge, centre culturel, Annemasse (74), le 10 février 2016 ; Théâtre des Aspres, Thuir (66), le 3 avril 2016.

AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
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Solitude d'un ange gardien
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Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
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UNE HEURE A T'ATTENDRE
de Sylvain Meyniac
Mise en scène de Delphine De Malherbe
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