Le Petit Garçon qui posait trop de questions
de Joseph Agostini
Mise en scène de Olivier Maraval
Avec Olivier Maraval
Lorsqu'il était enfant, Jules posait beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup... trop, de questions au point d'en agacer son père.
Tout au long de ce mois de décembre, le théâtre Le Fil à plomb accueille la compagnie Un Tournesol sur Jupiter avec le spectacle Le Petit Garçon qui posait trop de questions d'après Joseph Agostini ; un spectacle jeune public musical et de marionnettes, à aller voir en famille à partir de 3 ans. Pendant 45 minutes, Olivier Maraval, adaptateur, comédien et metteur en scène, interprète différents personnages et entraîne son public dans l'histoire de ce petit garçon qui posait trop de questions.
Alors que l'on s'installe dans la salle, sur scène, un jeune homme aux airs studieux et muni d'un crayon surdimensionné, est concentré sur son cahier. Il se présente : il est le bibliothécaire du coin de la rue, sous son air sérieux, il aime raconter des histoires et voir les enfants chahuter ! Et s'il racontait, aujourd'hui, l'histoire qu'il est lui-même en train d'écrire ? Cette histoire est celle de son papy Jules... Lorsqu'il était enfant, Jules posait "beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup... trop, de questions" au point d'en agacer son père. Heureusement pour Jules, son grand-père, papy Anatole, a la patience et la joie de répondre à toute cette soif de curiosité. Une belle relation de complicité lie le vieil homme et son petit fils. Mais un jour, papy Anatole rejoint les étoiles. Comment expliquer cela à un enfant qui pose tellement de questions ? Et qui maintenant va répondre à toutes les interrogations de Jules ? Ce dernier voyage alors à travers ses rêves et son imagination, jusqu'à trouver des réponses dans les livres...
Dans un décor simple, une table sur laquelle reposent des livres lesquels deviendront multifonctions pour représenter un lit, un bureau... Olivier Maraval donne vie à tous les personnages de l'histoire grâce à la manipulation de marionnettes, mais aussi en chansons. Le comédien s'adresse aussi plusieurs fois directement au public, posant des questions aux enfants, créant ainsi un spectacle interactif et stimulant la participation du spectateur.
Le choix de la mise en scène est assez épuré, l'on pense notamment au rêve de Jules : il survole le monde, décrit ce qu'il voit, mais le public, lui, ne voit rien, libre cours est laissé à son imagination... L'imagination est d'ailleurs un élément important du spectacle. On la retrouve dans les questions, des plus terre à terre aux plus farfelues, posées par Jules. C'est une éloge de cette curiosité innocente et de cet imaginaire qui transparaît dans cette histoire. L'étonnement, le "pourquoi ?" propre à l'enfance, et pourtant tellement important si l'on y pense bien. Le Petit Garçon qui posait trop de questions interroge également le lien intergénérationnel. La relation entre l'enfant et son grand-père est touchante, elle invite petits et grands à entretenir cette relation, et poser des questions parce qu'on a toujours à apprendre de nos aînés...
Ainsi, pour une sortie familiale pendant ces vacances, Olivier Maraval vous invite à venir vous poser des questions avec lui ! Á noter qu'on pourra le retrouver sur la scène du Fil à plomb du 6 au 10 janvier 2015 à 21h avec un autre spectacle, Blues Cabaret.
Alors que l'on s'installe dans la salle, sur scène, un jeune homme aux airs studieux et muni d'un crayon surdimensionné, est concentré sur son cahier. Il se présente : il est le bibliothécaire du coin de la rue, sous son air sérieux, il aime raconter des histoires et voir les enfants chahuter ! Et s'il racontait, aujourd'hui, l'histoire qu'il est lui-même en train d'écrire ? Cette histoire est celle de son papy Jules... Lorsqu'il était enfant, Jules posait "beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup... trop, de questions" au point d'en agacer son père. Heureusement pour Jules, son grand-père, papy Anatole, a la patience et la joie de répondre à toute cette soif de curiosité. Une belle relation de complicité lie le vieil homme et son petit fils. Mais un jour, papy Anatole rejoint les étoiles. Comment expliquer cela à un enfant qui pose tellement de questions ? Et qui maintenant va répondre à toutes les interrogations de Jules ? Ce dernier voyage alors à travers ses rêves et son imagination, jusqu'à trouver des réponses dans les livres...
Dans un décor simple, une table sur laquelle reposent des livres lesquels deviendront multifonctions pour représenter un lit, un bureau... Olivier Maraval donne vie à tous les personnages de l'histoire grâce à la manipulation de marionnettes, mais aussi en chansons. Le comédien s'adresse aussi plusieurs fois directement au public, posant des questions aux enfants, créant ainsi un spectacle interactif et stimulant la participation du spectateur.
Le choix de la mise en scène est assez épuré, l'on pense notamment au rêve de Jules : il survole le monde, décrit ce qu'il voit, mais le public, lui, ne voit rien, libre cours est laissé à son imagination... L'imagination est d'ailleurs un élément important du spectacle. On la retrouve dans les questions, des plus terre à terre aux plus farfelues, posées par Jules. C'est une éloge de cette curiosité innocente et de cet imaginaire qui transparaît dans cette histoire. L'étonnement, le "pourquoi ?" propre à l'enfance, et pourtant tellement important si l'on y pense bien. Le Petit Garçon qui posait trop de questions interroge également le lien intergénérationnel. La relation entre l'enfant et son grand-père est touchante, elle invite petits et grands à entretenir cette relation, et poser des questions parce qu'on a toujours à apprendre de nos aînés...
Ainsi, pour une sortie familiale pendant ces vacances, Olivier Maraval vous invite à venir vous poser des questions avec lui ! Á noter qu'on pourra le retrouver sur la scène du Fil à plomb du 6 au 10 janvier 2015 à 21h avec un autre spectacle, Blues Cabaret.
Caroline Lerda
18/12/2014
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Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
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