De quoi parlez-vous ?
de Jean Tardieu
Mise en scène de Sophie Accard
Avec Sophie Accard, Anaïs Merienne, Léonard Prain, Tchavdar Pentchev
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Du 03/09/2014 au 08/11/2014
Du mardi au samedi à 20h, dimanche à 15h.
Lucernaire
53 Rue Notre-Dame des Champs
75006 PARIS
Métro Vavin, Notre-Dame des Champs, Montparnasse Bienvenüe
01 45 44 57 34
Cinq pièces courtes comiques écrites par Jean Tardieu : cinq pièces comiques, décalées, surprenantes ou terrifiantes alliant toujours dérision et poésie ;
5 pièces, 18 personnages, 4 comédiens !
"Finissez vos phrases" : Deux anciens amants se retrouvent par hasard lors dʼun bal costumé. Surprise, trouble, inquiétude, espoir... Suspendus à leur émotion, écartelés entre leurs hésitations et leur désir renouvelé, ils sʼabordent avec prudence et laissent toutes leurs phrases en suspens. Bref, ils vont...enfin, peut-être...si toutefois...
"Oswald et Zénaïde" : Cette petite pièce a pour objet dʼétablir un contraste comique entre la pauvreté des répliques échangées à haute voix et lʼabondance des « apartés ». La pièce est parodie des aveux impossibles, où la parole est empêchée par égard pour lʼautre.
"De quoi sʼagit-il ?" : Monsieur et Madame Poutre se rendent au tribunal pour porter plainte contre « lui » et en sa faveur. Le couple est incapable de déterminer la fonction du juge, lʼappelant « mon père » ou « Monsieur le proviseur… ». Leur acharnement à transformer son identité finit par contaminer le magistrat qui, troublé, dérape et perd pied. Entre incompréhension, colère et résignation, la communication tourne en rond à force de malentendus sur lʼobjet du litige au sein du couple.
"Le guichet" : Lʼadministration, figée et angoissante, devient, dans lʼespace dʼun bureau de gare, un lieu écrasant et oppressant. À la froideur des employés sʼopposent lʼincohérence et la fragilité dʼun client qui rate son entrée, hésite sur sa destination, se montre incapable de donner son nom ou son âge. Chacun à sa manière est responsable du drame en train de se jouer : lʼun par timidité et manque de précision, lʼautre par manque dʼhumanité.
"Un mot pour un autre" : Vers lʼannée 1900, une curieuse épidémie sʼabat sur la population des villes. Les misérables atteints de ce mal prennent soudain les mots les uns pour les autres. Les conversations paraissent alors dénuées de sens, mais les malades ne semblent pas sʼapercevoir de cette anomalie et continuent de se comprendre parfaitement.Et si les mots ne jouaient quʼun rôle secondaire ou nʼétaient quʼun habillage des intentions profondes ?
"Oswald et Zénaïde" : Cette petite pièce a pour objet dʼétablir un contraste comique entre la pauvreté des répliques échangées à haute voix et lʼabondance des « apartés ». La pièce est parodie des aveux impossibles, où la parole est empêchée par égard pour lʼautre.
"De quoi sʼagit-il ?" : Monsieur et Madame Poutre se rendent au tribunal pour porter plainte contre « lui » et en sa faveur. Le couple est incapable de déterminer la fonction du juge, lʼappelant « mon père » ou « Monsieur le proviseur… ». Leur acharnement à transformer son identité finit par contaminer le magistrat qui, troublé, dérape et perd pied. Entre incompréhension, colère et résignation, la communication tourne en rond à force de malentendus sur lʼobjet du litige au sein du couple.
"Le guichet" : Lʼadministration, figée et angoissante, devient, dans lʼespace dʼun bureau de gare, un lieu écrasant et oppressant. À la froideur des employés sʼopposent lʼincohérence et la fragilité dʼun client qui rate son entrée, hésite sur sa destination, se montre incapable de donner son nom ou son âge. Chacun à sa manière est responsable du drame en train de se jouer : lʼun par timidité et manque de précision, lʼautre par manque dʼhumanité.
"Un mot pour un autre" : Vers lʼannée 1900, une curieuse épidémie sʼabat sur la population des villes. Les misérables atteints de ce mal prennent soudain les mots les uns pour les autres. Les conversations paraissent alors dénuées de sens, mais les malades ne semblent pas sʼapercevoir de cette anomalie et continuent de se comprendre parfaitement.Et si les mots ne jouaient quʼun rôle secondaire ou nʼétaient quʼun habillage des intentions profondes ?
17/09/2014

AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
L'ORIFLAMME

AVIGNON



Solitude d'un ange gardien
de Aude De TocquevilleMise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
AVIGNON
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
AVIGNON
Théâtre du Chêne Noir
UNE HEURE A T'ATTENDRE
de Sylvain Meyniac
Mise en scène de Delphine De Malherbe
Théâtre du Chêne Noir
UNE HEURE A T'ATTENDRE
de Sylvain Meyniac
Mise en scène de Delphine De Malherbe