


Plexus
de Aurélien Bory
Mise en scène de Aurélien Bory
Avec Kaori Ito
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Du 03/04/2014 au 12/04/2014
Du mardi au samedi à 20h30.
Théâtre Garonne
1, avenue du Château d'eau
31300 TOULOUSE
05 62 48 54 77
Site Internet
Plexus reflète le parcours de la danseuse Kaori Ito. Avec ce projet, Aurélien Bory poursuit la série de portraits de femmes qu’il a commencée en 2008 avec Stéphanie Fuster, danseuse de flamenco, dans Questcequetudeviens ?.
Plexus dérange dès le début. Face à nous, un grand voile noir et un corps... un corps qui respire et convulse. On entre dans son intimité par le son. Puis, le voile tombe, nous voici en son cur, au sein du plexus, "réseau de nerfs ou de vaisseaux". On pénètre dans un univers sombre, quasi-pénitentiaire, dans lequel s’imposent une multitude de fils verticaux. On y observe un corps baloté par ses propres névroses et bousculé par la recherche constante d’une excellence. La vie est là, dans ce battement de cur et de corps. Une vie qui se questionne, se débat et s’élève.
Kaorit Ito s’exprime sur une musique forte et une présence sonore dense. "Faire un portrait de Kaori Ito est d’abord pour moi un portrait de son corps : l’étude des traces que la danse a laissées à l’intérieur de son corps vivant", explique Aurélien Bory. Son corps de danseuse vit au rythme que lui imposent la création artistique, l’étude scénique, la performance et l’esthétisme. Aurélien Bory nous offre par ce solo, une série de tableaux chorégraphiques à la dimension parfois surréaliste, des images déconcertantes, teintées de réel et d’imaginaire, d’illusions d’optiques, de stabilité et d’instabilité. Un jeu d’ombre et de lumière toujours aussi impressionnant.
Kaorit Ito s’exprime sur une musique forte et une présence sonore dense. "Faire un portrait de Kaori Ito est d’abord pour moi un portrait de son corps : l’étude des traces que la danse a laissées à l’intérieur de son corps vivant", explique Aurélien Bory. Son corps de danseuse vit au rythme que lui imposent la création artistique, l’étude scénique, la performance et l’esthétisme. Aurélien Bory nous offre par ce solo, une série de tableaux chorégraphiques à la dimension parfois surréaliste, des images déconcertantes, teintées de réel et d’imaginaire, d’illusions d’optiques, de stabilité et d’instabilité. Un jeu d’ombre et de lumière toujours aussi impressionnant.
Céline Pagniez
08/04/2014

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare
PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
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PARIS
Théâtre La Pépinière
MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
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de Marion Mezadorian
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