
Narcisse ou l’amant de lui-même
de Jean-Jacques Rousseau
Mise en scène de Jean-Luc Revol
Avec Richard Bartolini, Olivier Broda, Marie-Julie De Coligny, Louise Jolly, Cédric Joulie, Anne-Laure Pons, Valérie Thoumire
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Du 20/07/2013 au 28/07/2013
15h40.
Théâtre du Balcon
38 rue Guillaume Puy
84000 AVIGNON
04 90 85 00 80
Créée dans le cadre du tricentenaire de la mort de Jean-Jacques Rousseau, cette pièce, mise en scène par Jean-Luc Revol, revisite et explore la quête de soi-même et la peur de s’y perdre.
Voilà un bel hommage rendu au "penseur solitaire" et à sa jeunesse puisque Rousseau avait à peine vingt deux ans lorsqu’il écrivit la pièce Narcisse ou l’amant de lui-même que Marivaux retoucha avec son expérience aiguisée de l’écriture théâtrale. Cette pièce publiée dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle (1753) fut jouée pour la première fois chez les comédiens du Roi en pleine période hivernale.C’est en plein mois de juillet à Avignon que nous redécouvrons ce chef-d’œuvre qui revisite Ovide tout en posant des questions sur l’identité et les amours à leurs prémices.Jean-Luc Revol livre sa perception d’une pièce qui donne selon ses mots "une cure de jouvence au mythe des métamorphoses d’Ovide en déjouant les codes du travestissement et en nous emportant dans la découverte et la crainte de soi". Valère coquet et vaniteux incarnant le Narcisse d’Ovide attendait un comédien qui sache vraiment s’incarner dans le personnage voulu par Rousseau. Or il n’en est rien ! Son jeu calqué sur je ne sais quelle iconographie contemporaine de travesti vulgaire met le feu aux poudres et déçoit. S’il est aussi vrai qu’Ovide nous le dit : "Les feux qu’il cherche à allumer, sont en même temps ceux qui le brûlent" on prendra alors cette citation comme un trait du destin qui s’acharne contre ce pauvre comédien jouant Valère dans son pitoyable jeu excessif et surfait où il passe le plus clair de son temps à vociférer. On saluera toutefois la prestation remarquable de Louise Joly qui interprète Lisimon telle une duègne autoritaire aussi douce qu’inflexible. Marie Julie de Coligny s’habille bien d’une joie naïve et Olivier Broda dans le rôle du valet Frontin est parfait malgré un Valère qui aurait pu lui faire perdre le brio de son rôle qu’il joue tambour battant contre vents et marées.L’intrigue que propose Jean-Luc Revol eut été digne d’un Marivaux si le rôle titre avait été tenu de manière plus continente.
Yves-Alexandre Julien
20/07/2013

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare
PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
de Jérémy ManesseMise en scène de Ludivine De Chastenet
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PAULINE & CARTON
de Virginie Berling, Christine Murillo, Charles Tordjman
Mise en scène de Charles Tordjman
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Théâtre La Pépinière
MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
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