La crevette d’acier
de Mathias Castagné
Mise en scène de Damien Dutrait, Chloé Lacan, Vincent Tirilly
Avec Mathias Castagné, Damien Dutrait, Chloé Lacan, Vincent Tirilly
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Jusqu'au 13/09/2003
Palais des Glaces (Salle 1)
37, rue du Faubourg du Temple
75010 PARIS
Métro République, Goncourt
01 42 02 27 17
En une vingtaine de chansons, La Crevette d'Acier nous offre une galerie d'hommes et de femmes inquiétants, touchants et loufoques. Des gens apparemment "sans histoires" !
Quatre jeunes musiciens, trois garçons et une fille délicieusement chipie-correcte, chantent une vingtaine de chansons parfois impertinentes et dérangeantes... Pour notre plus grand plaisir. Car ces musiciens à la fois paroliers et chanteurs donnent profondeur et poésie à leurs textes souvent osés. Les paroles deviennent alors crues, mais dépourvues de toute vulgarité. L’accordéon, la contre-basse, tous les instruments sous leurs doigts se modernisent quand sont abordés des thèmes très actuels comme le sida, la vieillesse, l’anorexie, le sexe, les rencontres rêvées mais ratées en club, l’amour dissolu.D’abord entraîné, le public ne peut être que touché (ou concerné) par ces mots percutants, ces clichés du quotidien envahissants et souvent blessants. Chacun se reconnaîtra au détour d’une chanson : impossible de faire la sourde oreille ! Tous ces thèmes traités avec drôlerie en guise de remède font repartir le spectateur le cœur léger et enthousiaste.
Martine Berthomeau
21/08/2003

PARIS
Comédie Bastille
de Alexandre Delimoges
Mise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini
Comédie Bastille

PARIS





Le Radeau de la Méduse
de Alexandre DelimogesMise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini