La cantatrice chauve
de Eugène Ionesco
Mise en scène de Luc Elissalde
Avec Emilie Broust, Nelly Chanon, Elsa Munoz, Nicolas Maury, Patrick Journaut, Yann Elissalde
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Jusqu'au 31/07/2003
Tous les jours à 15h.
Théâtre du Bourg-Neuf
5 bis rue Bourg-Neuf
84000 AVIGNON
04 90 85 17 90
Site Internet
Mr et Mme Smith. Mr et Mme Martin. Mary. Le capitaine des pompiers.
Voici les personnages de cette pièce – ou plutôt cette anti-pièce - qui en enfreignant les règles fondamentales du Théâtre classique est devenu un texte classique.
Une soirée ‘’anglaise’’. Des propos incohérents. Une non-logique implacable.
‘’La cantatrice chauve’’ est désormais devenue le manifeste du Théâtre de l’Absurde.
En revisitant l’univers de Ionesco, la compagnie Sud Horizon a réussi brillamment et avec talent un pari audacieux et risqué. Et cette cantatrice est définitivement une révolutionnaire !
Comme Ionesco, Luc Elissalde a décidé lui aussi de ne pas suivre les pratiques classiques de la mise en scène : monter un texte ‘’décalé’’ dans une situation réaliste et quotidienne. Il a donc pris le parti de faire vivre sa cantatrice dans un univers définitivement surréaliste. Les aspects visuels et picturaux sont au cœur de la mise en scène tant au niveau des costumes que du décor. L’horloge n’est d’ailleurs pas sans rappeler les décors de Dali dans ‘’La maison du Docteur Edwards’’.
Force est de constater que ce choix original permet de rendre un bel hommage au texte en renforçant le ‘’vide’’ du langage et en offrant à l’humour une place prépondérante.
C’est donc un doux euphémisme que de parler du génie de Luc Elissalde dans cette mise en scène qui permettra aussi aux plus jeunes spectateurs d’aborder avec plaisir un grand auteur.
Quand aux comédiens, ils débordent d’énergie et de vitalité, et sont d’une merveilleuse générosité. Chaque représentation est pour eux une véritable mise en danger dans cette pièce ‘’fragile et délicate‘’ où la faute de rythme ne pardonne pas.
Et si Mme Ionesco – fille de l’auteur - a accepté que soit représentée la pièce à Paris en mai dernier, mettant ainsi fin au privilège donné au Théâtre de la Huchette qui donne à Paris et de façon exclusive la mise en scène de Nicolas Bataille depuis 1950, c’est bien parce que cette cantatrice là est une femme fatale à laquelle on ne peut résister.
A voir impérativement.
Voici les personnages de cette pièce – ou plutôt cette anti-pièce - qui en enfreignant les règles fondamentales du Théâtre classique est devenu un texte classique.
Une soirée ‘’anglaise’’. Des propos incohérents. Une non-logique implacable.
‘’La cantatrice chauve’’ est désormais devenue le manifeste du Théâtre de l’Absurde.
En revisitant l’univers de Ionesco, la compagnie Sud Horizon a réussi brillamment et avec talent un pari audacieux et risqué. Et cette cantatrice est définitivement une révolutionnaire !
Comme Ionesco, Luc Elissalde a décidé lui aussi de ne pas suivre les pratiques classiques de la mise en scène : monter un texte ‘’décalé’’ dans une situation réaliste et quotidienne. Il a donc pris le parti de faire vivre sa cantatrice dans un univers définitivement surréaliste. Les aspects visuels et picturaux sont au cœur de la mise en scène tant au niveau des costumes que du décor. L’horloge n’est d’ailleurs pas sans rappeler les décors de Dali dans ‘’La maison du Docteur Edwards’’.
Force est de constater que ce choix original permet de rendre un bel hommage au texte en renforçant le ‘’vide’’ du langage et en offrant à l’humour une place prépondérante.
C’est donc un doux euphémisme que de parler du génie de Luc Elissalde dans cette mise en scène qui permettra aussi aux plus jeunes spectateurs d’aborder avec plaisir un grand auteur.
Quand aux comédiens, ils débordent d’énergie et de vitalité, et sont d’une merveilleuse générosité. Chaque représentation est pour eux une véritable mise en danger dans cette pièce ‘’fragile et délicate‘’ où la faute de rythme ne pardonne pas.
Et si Mme Ionesco – fille de l’auteur - a accepté que soit représentée la pièce à Paris en mai dernier, mettant ainsi fin au privilège donné au Théâtre de la Huchette qui donne à Paris et de façon exclusive la mise en scène de Nicolas Bataille depuis 1950, c’est bien parce que cette cantatrice là est une femme fatale à laquelle on ne peut résister.
A voir impérativement.
Loick Hello
24/07/2003

PARIS
Mathurins
de Jean-Luc Voulfow
Mise en scène de François Nambot
1941. La France est sous occupation allemande. Arletty, 43 ans, fait la rencontre d’un officier allemand Hans Jürgen Shring. Entre eux, l’amour naît et la correspondance épistolaire commence pour s’éterniser sur des centaines de lettres. A la fin de la guerre, Arletty connaît la...
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