Un Couple parfait... enfin presque !
de Alil Vardar
Mise en scène de Eric Carrière
Avec Nathalie Marquay-Pernaut, Alil Vardar
Alec et Lisa viennent de se marier. Ils ont tout pour être heureux. Mais combien de temps ce bonheur va-t-il durer ?
Après Le Clan des divorcés, toujours à l’affiche au Palace, c’est avec bonheur qu'on découvre à La Grande Comédie, la nouvelle pièce d'Alil Vardar, Un couple parfait... enfin presque. Cette comédie d'une heure trente est une succession de saynètes qui raconte l’histoire d’un couple. D’abord la rencontre dans une boite de nuit... , puis le premier rendez-vous, un petit dîner dans un restaurant chic ; le mariage et ses difficultés ; les enfants ; et... la fin de la vie du couple. Bref, une comédie de murs à l’intrigue peut-être un peu trop simpliste, mais bien construite et très bien vue, pimentée de jeux de mots drôles et bien pensés. Du coup, chacun pourra dire : "Tiens, ça, je connais !" ou bien encore "Ça, j'ai déjà vécu !".On apprécie, dans ce spectacle, la performance du comédien Alil Vardar, vraiment excellent, qui porte la pièce à lui seul. Quelles que soient les situations, il parvient à faire rire le public aux éclats, par sa nature comique. En compagnie de ce couple parfait... enfin presque, vous passerez une agréable soirée.
Julia Terom
20/03/2010
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
Lucernaire
PARIS
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard RauberMise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien