


Inconnu à cette adresse
de Kathrine Kressmann Taylor
Mise en scène de Luc Clémentin
Avec Roland Gervet, Jean-Jacques Vélicitat, Caroline Dubost
-
-

Du 10/07/2008 au 02/08/2008
21h30.
Livrée de Viviers
5 rue du Collège de la Croix
84000 AVIGNON
06 25 63 86 98
Un moment de frisson qui invite à la réflexion.
Martin Schulse, un Allemand, et Max Eisenstein, un Juif américain, sont marchands de tableaux à San Francisco. Ils sont unis par des liens qui semblent, au premier abord, dépasser l’appartenance religieuse. Martin décide de rentrer en Allemagne, à Munich, avec sa femme Elsa et ses enfants. Quelque temps plus tard, il devient sympathisant du parti national-socialiste. La pièce, célèbre, raconte la correspondance épistolaire de ces deux amis et la lente mais inexorable marche de l’antisémitisme en Allemagne. Martin se laisse progressivement parler par ce mouvement de haine raciale et de sentiment de supériorité aryenne, deux traits qui l’incitent, lettre après lettre, à mépriser Max. Impossible humanité, impossible bonté. Inconnu à cette adresse révèle la folie idéologique, quand elle s’aliène à la barbarie radicale. La compagnie Ultima Chamada a choisi la simplicité pour mettre en scène ce texte. Piano et chant accompagnent quand même les deux comédiens, brillants, dans cette descente aux enfers. Un moment de frisson qui invite à la réflexion.
Joseph Agostini
17/07/2008

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

