La Muse abuse

de Joyce Madbak
Mise en scène de Joyce Madbak
Avec Astrid De Couvois, Joyce Madbak, Mathieu Stortoz
Pour gagner 15 000 euros à un concours, deux jeunes femmes aussi amies qu’ennemies doivent écrire un livre...
Deux jeunes femmes aussi amies qu’ennemies, décident de participer à un concours dont le premier prix est de 15 000 euros. Oui mais voilà, il y a un hic : pour gagner ce concours, il leur faut écrire un livre... et la littérature n’est pas le fort de ces demoiselles, même si leur humour est particulièrement aiguisé. Naïves mais motivées à bloc pour créer le chef d’uvre qui leur assurerait gloire et fortune, elles se triturent tellement les méninges, qu’elles provoquent l’apparition d’une muse... qui n’est autre qu’un homme... Allons bon ! Muse arrivera-t-elle (t-il ?) à les aider, et son aide est-elle complètement désintéressée ? D’où vient-elle (il ?) et que veut-elle (il ?) Suspense !Les personnages sont aussi touchants qu’amusants. Le vocabulaire approximatif de Nina n’a d’égal que la profonde ignorance à peine masquée de la soi-disant intello Bali. Tout cela est heureusement équilibré par la vaste culture de Muse qu’il n’hésite pas à étaler et à exprimer en alexandrins, s’il vous plait ! Le but de La Muse abuse n’est pas uniquement de détendre vos zygomatiques. Car si c’est une comédie truculente, hilarante, divertissante, amusante, piquante... et même marrante, elle a également un fond philosophique. Si, si. En effet, on y retrouve de grands récits épiques, une histoire d’amour tragique, et des références littéraires, philosophiques et historiques qui feraient pâlir d’envie Frédéric Mitterrand en personne. Hé oui, vous saurez tout sur tout : qui est à l’origine des paroles de Alexandrie, Alexandra, le sexe des muses, la définition de mots compliqués à articuler, et même peut-être le prénom du philosophe Pascal. Toute cette science vous est délivrée sous un emballage comique, et malgré la fourberie de la muse, vous en sortirez métamorphosés, transformés, transmutés... bref, décontractés.
22/07/2007

AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
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Solitude d'un ange gardien
de Aude De TocquevilleMise en scène de Séverine Vincent
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AVIGNON
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LES GARCONS DE LA BANDE
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Mise en scène de Antoine Courtray
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UNE HEURE A T'ATTENDRE
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