Des souris et des hommes
de John Steinbeck
Mise en scène de Philippe Ivancic, Jean-Philippe Evariste
Avec Henri Deus, Hervé Jacobi, Jacques Herlin, Augustin Ruhabura, Jean-Philippe Evariste, Philippe Ivancic, Emmanuelle Destremau, Philippe Sarrazin, Arnaud Apprédéris, Jacques Bouanich
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Du 17/09/2002 au 27/10/2002
Théâtre 13
103A, boulevard Auguste-Blanqui
(accès possible par la dalle piétonne face au 100 rue de la Glacière)
75013 PARIS
Métro Glacière
01 45 88 62 22
Site Internet
John Steinbeck pose le décor réaliste de son drame pendant la grande dépression des années trente aux Etats-Unis. Il y met en scène des personnages empreints de solitude et de dureté, avides de rêve et d'espoir
La transposition au théâtre du roman phare de l'écrivain américain John Steinbeck, semblait être une aventure périlleuse. Comment mettre en dialogue ce fabuleux récit sans commettre d'écueils et abimer les intentions de l'auteur? C'est pourtant ce que parvient à faire avec brio la Compagnie des Brigandins, dont l'objectif est, à chaque représentation, de transmettre l'humanisme de Steinbeck, en ne sacrifiant pas au langage théâtral. Dans un décor dépouillé, pour l'essentiel taillé dans des lattes de bois, sous un jeu de lumières saisissant, traduisant les différentes couleurs du récit, il s'agit bien d'une invitation au voyage dans cette Amérique des ranches, au beau milieu de la crise des années 30. George et Lennie parcourent la Californie, liés par la misère, rêvant d'une propriété qu'ils partageraient quand ils auront amassé l'argent nécessaire.Steinbeck scrute les solitudes des êtres, leur volonté d'être ensemble à tout prix dans l'adversité, au moment où le rêve laisse place à la réalité, âpre et décevante. Les personnages sont seuls, infiniment seuls, sous le joug du labeur, privés de paroles. Les dix comédiens ne relâchent pas la tension une seconde, restaurant scène après scène un parfum lourd de déréliction, émaillé de très belles notes d'ironie. La leçon de vie de Steinbeck, la puissance de ses mots simples, ses symboles si justes, prennent vie au Théâtre 13.
Joseph Agostini
10/11/2002

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare

PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
de Jérémy ManesseMise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot