The real inspector Hound

de Tom Stoppard
Mise en scène de Carole Anderson
Avec Frédéric Jessua, Frédéric Ozier, Ghislain Lemaire, Gabrielle Baron, Léonor Lemée, Emilie Patry, Alexis Ragougneau, Raoul Schlechter, Benoit Costa
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Du 01/06/2002 au 29/06/2002
Du mardi au samedi, à 19 h 45.
Théâtre des Déchargeurs
3 Rue des Déchargeurs
75001 PARIS
Métro Châtelet / sortie rue de Rivoli

01 42 36 00 50
Site Internet
Qui a tué Simon Gascoyne ? Et pourquoi ? Qui est le véritable inspector Hound ? Qui se cache sous la moustache réglementaire du major Magnus ? La veuve Muldoon finira-t-elle par retrouver son mari disparu ? Autant de question auxquelles la jeune troupe du "Real McCoy Company" va tenter de répondre... en anglais !
Who killed Simon Gascoyne and why ? La troupe du "Real McCoy company" mène l'enquête. Et quelle enquête ! Car "The Real Inspector Hound" de Tom Stoppard n'est pas une pièce policière comme les autres. Et pour cause : il s'agit d'une parodie où l'auteur prend un malin plaisir à «saccager avec insolence toute une pelletée de conventions théâtrales».C'est cette pièce justement que les jeunes comédiens issus du Studio 34 de Paris ont choisi d'interpréter sur les planches parisiennes, en l'occurrence celles du théâtre des Déchargeurs. Tous ont pris leur courage à deux mains pour dépasser le cadre strictement scolaire de la représentation théâtrale et voler de leurs propres ailes. Qui les démarches auprès des théâtres, qui la promotion du spectacle... tous ont redoublé d'efforts pour parvenir à leurs fins. Quant à la mise en scène, ils ont fait appel à Carole Anderson, leur professeur d'anglais !
En tout cas, une chose est sûre : tous peuvent être fiers du travail accompli. Le spectacle est d'une qualité rare du point de vue de l'interprétation et, sommet de la performance, joué en version originale, en anglais ! Il faut dire que tous sont bilingues et maîtrisent la langue de Shakespeare à la perfection.
Si le spectacle s'adresse a priori à un public anglophone en raison de la difficulté du texte de Stoppard, les curieux trouveront là, à coup sûr, une occasion unique pour réviser leur anglais. Le théâtre comme outil pédagogique ? Elémentaire, mon cher Watson. Effectivement, la troupe a lié, depuis le début de l'année, des liens avec plusieurs établissements scolaires et universitaires parisiens. « Les élèves sont sensibles à notre démarche et découvrent que le jeu théâtral peut être un moyen de pratiquer une langue étrangère "à domicile" »... Une raison de plus pour découvrir ce spectacle.
En tout cas, une chose est sûre : tous peuvent être fiers du travail accompli. Le spectacle est d'une qualité rare du point de vue de l'interprétation et, sommet de la performance, joué en version originale, en anglais ! Il faut dire que tous sont bilingues et maîtrisent la langue de Shakespeare à la perfection.
Si le spectacle s'adresse a priori à un public anglophone en raison de la difficulté du texte de Stoppard, les curieux trouveront là, à coup sûr, une occasion unique pour réviser leur anglais. Le théâtre comme outil pédagogique ? Elémentaire, mon cher Watson. Effectivement, la troupe a lié, depuis le début de l'année, des liens avec plusieurs établissements scolaires et universitaires parisiens. « Les élèves sont sensibles à notre démarche et découvrent que le jeu théâtral peut être un moyen de pratiquer une langue étrangère "à domicile" »... Une raison de plus pour découvrir ce spectacle.
Mathieu Girandola
09/11/2002

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

