LES CHRONIQUES DU FESTIVAL D'AVIGNON 2024





Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir
de Suzanne Van Lohuizen
Mise en scène de Johanne Benoit
Avec Vania Beaubien, alexandre L'Heureux, isabel Rancier
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Du 29/06/2024 au 21/07/2024
13h30 relâche les 4, 11, 18 juillet.
Théâtre du Balcon
38 rue Guillaume Puy
84000 AVIGNON
04 90 85 00 80
comédie masquée nous venant du Québec. Une ode à l'amitié vraie.
Ernest, Désiré et Stanislas reçoivent un jour une lettre leur annonçant leur mort pour le jour même. Imaginez leur déconvenue, leur surprise, et surtout qui est l'expéditeur ?
Peu importe, eux ne veulent pas mourir aujourd'hui, ils ont encore beaucoup de choses à faire.
Et les voilà partis dans l'imaginaire de grands voyages, mais la réalité de l'arthrose, les ramène à la vie.
C'est imaginatif, drôle, touchant, sincère. Un vrai plaisir de les regarder ces petits vieux attachants. Ils sont excellents. Je les aime.
Peu importe, eux ne veulent pas mourir aujourd'hui, ils ont encore beaucoup de choses à faire.
Et les voilà partis dans l'imaginaire de grands voyages, mais la réalité de l'arthrose, les ramène à la vie.
C'est imaginatif, drôle, touchant, sincère. Un vrai plaisir de les regarder ces petits vieux attachants. Ils sont excellents. Je les aime.
Geneviève Brissot
01/07/2024

AVIGNON
l'Episcène
de Mathieu Laviolette,dimitri Lepage
Mise en scène de Jérôme Jacob-Paquay
Difficile d'en parler, c'est la fin du monde, deux hommes se rencontrent, mais sont-ils vivants ? L'un veut tuer l'autre, parce qu'il n'y a pas de place pour deux personnes, Au fur et à mesure de l'échange, je comprends (je parle en mon nom, parce que toutes les...
L'avis de Geneviève Brissot
l'Episcène

AVIGNON





Les Rossignols du Carnage
de Mathieu Laviolette,dimitri LepageMise en scène de Jérôme Jacob-Paquay
Difficile d'en parler, c'est la fin du monde, deux hommes se rencontrent, mais sont-ils vivants ? L'un veut tuer l'autre, parce qu'il n'y a pas de place pour deux personnes, Au fur et à mesure de l'échange, je comprends (je parle en mon nom, parce que toutes les...
L'avis de Geneviève Brissot