




Mirad, un garçon de Bosnie
de Ad de Bont
Mise en scène de Christophe Laluque
Avec Robin Francier, Serge Gaborieau, Chantal Lavallée, Céline Liger
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Du 06/07/2018 au 29/07/2018
14h05, relâches les 8, 15 et 22 juillet.
Artéphile
5 bis, rue du Bourg Neuf
84000 AVIGNON
04 90 03 01 90
Site Internet
Mirad, un garçon de Bosnie raconte l’histoire d’un garçon à la recherche de sa mère disparue pendant la guerre civile de Bosnie.
Nous sommes en 1992, ces gens sont bosniaques et la guerre de la Bosnie-Herzégovine les a jetés sur les routes de l’exile. L’un d’eux Mirad (Robin Francier) a treize ans. Il a vu mourir son père, sa sœur, tandis que sa mère Verica (Céline Liger) a disparu. Recueilli par une famille française, Mirad n’aura de cesse de fuir vers son pays pour tenter d’y retrouver sa mère. Sans papier, au milieu des ruines et des insupportables violences, Mirad déploiera un incroyable courage. Durant sa quête, il retrouvera sa tante fazila (Chantal Lavallée) et son oncle Djuka (Serge Gaborieau) qui, eux aussi, connaissent les douleurs de cette guerre tellement identiques à celles qu’ils ont déjà endurées en 1940.
Les conflits évoqués par les peuples sont toujours pathétiques car subis par des gens qui ne demandent rien et se laissent enrôler souvent malgré eux. Les quatre comédiens de ce spectacle dans leur rôle de déracinés, mal acceptés, dépassés par les évènements, ne désirant qu’une chose : retourner « chez eux », sont excellents. Très émouvants, ils prennent leur personnage à bras-le-corps avec chacun leur sincérité au bord des yeux. Le décor simple, les lumières discrètes mais efficaces et la musique délicate donnent à l’ensemble du spectacle une belle unité. La mise en scène discrète n’en est pas moins très efficace, sans pathos et sans excès. Beau spectacle à voir.
Les conflits évoqués par les peuples sont toujours pathétiques car subis par des gens qui ne demandent rien et se laissent enrôler souvent malgré eux. Les quatre comédiens de ce spectacle dans leur rôle de déracinés, mal acceptés, dépassés par les évènements, ne désirant qu’une chose : retourner « chez eux », sont excellents. Très émouvants, ils prennent leur personnage à bras-le-corps avec chacun leur sincérité au bord des yeux. Le décor simple, les lumières discrètes mais efficaces et la musique délicate donnent à l’ensemble du spectacle une belle unité. La mise en scène discrète n’en est pas moins très efficace, sans pathos et sans excès. Beau spectacle à voir.
Jeanne-Marie Guillou
14/07/2018

AVIGNON
Fabrik Théâtre
de Michael Morpurgo
Mise en scène de Jean-Louis Kamoun
Juste le titre entraîne la question "Pourquoi" ?Oui pourquoi le grand violoniste Paolo Levi refuse de jouer du Mozart et aussi pourquoi se braque-t-il en entendant du Mozart même dans la rue. Si un journaliste, un reporter lui pose la question interdite, le Maître se ferme, se fâche,...
L'avis de Geneviève Brissot
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