


Don Quichotte de la Mancha
de Miguel de Cervantès
Mise en scène de Guy Simon
Avec Anaïs Richetta, Yves Sauton, Guy Simon, Jérôme Simon
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Du 06/07/2017 au 28/07/2017
18h30, relâches les 12, 17 et 22 juillet.
Fabrik Théâtre
32, boulevard Limbert
84000 AVIGNON
04 90 86 47 81
La cie du Kronope, l'incontournable du festival Off, propose cette fois de nous relater les exploits de Don Quichotte.
Un camp de gitans, une famille, et un pépé qui rêve d'être chevalier, pas n'importe quel chevalier, non, il veut être Don Quichotte... Et la famille aide le vieil homme à réaliser son rêve. Le camp devient un palais, la mobylette un âne, Rosina sa femme sera son destrier Rossinante. Toute la famille va jouer un rôle.Une belle démonstration de l'amour familial pour accompagner le patriarche. Et sous nos yeux, l'aventure commence, dynamique, tonique, drôle, tendre, triste (quand Rosina s'en va, parce que mal aimée). Les comédiens masqués tous excellents une ovation spéciale à Anaïs Richetta nous offrent les péripéties et hallucinations légendaires de Don Quichotte, accompagné bien sûr de Sancho Panza.La mise en scène de Guy Simon est précise, le décor, les costumes, les masques sont toujours aussi impressionnants et recherchés. C'est un beau spectacle.
Geneviève Brissot
09/07/2017

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

