Réception
de Serge Valletti
Mise en scène de Pascal Joumier, Dominick Breuil
Avec Pascal Joumier, Dominick Breuil
-
-
Du 08/07/2004 au 31/07/2004
A 20 h 30.
Surya Théâtre
25, rue des Remparts de l'Oulle
84000 AVIGNON
04 32 76 33 87
Le hall d'un hôtel. Une heure avancée de la nuit.
Il y a des jours, ou plutôt des nuits, où tout se lie contre vous. La soirée de ce réceptionniste avait pourtant bien commencé. Comme toujours, il a pris son service, dans cet hôtel perdu, au milieu de nulle part. Il s'est installé derrière son comptoir miteux et a allumé son vieux poste de radio, derrière lui. Mais l'arrivée d'un client, un certain Monsieur Jacques, représentant en photocopies, qui se présente pour louer une chambre, va bouleverser ses habitudes. Entre les deux personnages, s'installe peu à peu un dialogue ambigu. L'arrivée d'un mystérieux personnage, la prétendue dulcinée du représentant, va finir par jeter le trouble et donner les clés de l'intrigue.On reconnaît bien là le style de Serge Valletti. Les situations, au départ banales et convenues, en deviennent, au fil des répliques, presque inquiétantes. L'atmosphère se révèle pesante, malsaine. Jusqu'au dénouement final où tout va brutalement prendre un sens, dans les dernières minutes du spectacle. Si l'interprétation de Pascal Joumier et Dominick Breuil manque parfois de profondeur, cette Réception-là, créée spécialement pour Avignon 2004, vaut le détour.
Mathieu Girandola
22/07/2004

PARIS
Comédie Bastille
de Alexandre Delimoges
Mise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini
Comédie Bastille

PARIS





Le Radeau de la Méduse
de Alexandre DelimogesMise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini