




Dans ta bulle
de Jocelyn Flipo
Mise en scène de Jocelyn Flipo
Avec Thaïs Vauquières, Franck Ziatni, Léon Vitale
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Du 01/10/2016 au 25/12/2016
Samedi et dimanche à 17h.
Café théâtre Les Tontons flingueurs
12 rue Romarin
69001 LYON
06 29 85 51 50
Site Internet
Ce que j’aime dans le théâtre c’est être transporté et là c’est au-delà de mes attentes !
Cela faisait plusieurs années que je n’étais pas sorti d’une salle de spectacle avec autant de joie et de plaisirs. Une sensation d’être sur un petit nuage, le sourire indécrochable comme après une rencontre amoureuse… Et justement, il s’agit bien d’une histoire d’amour. L’histoire de Max, jeune dessinateur ayant le don de faire sortir tout ce qu’il y a de bon chez les autres. Il est juste là, présent, face à des personnages tous différents, colériques, stressés, parfois "hors cadre", et pourtant, grâce à lui, ils deviennent attachant. On découvre leurs vies, leurs failles, leurs émotions… Max aime les gens, aime la nature humaine.
Au milieu de toutes ces histoires, comme des planches de dessins, Max rencontre Coquillage, une jeune femme ne croyant plus dans l’amour. Et pour une fois, il n’a plus envie de virevolter, de papillonner… Aurait-il trouver la bonne ? Celle qui le comprendra ?
Pendant plus d’une heure, ces trois très bon comédiens nous font découvrir une quinzaine de personnage différents. Chaque histoire est écrite comme une bulle de bande dessinée. L’auteur apporte ici une vraie touche d’amour passionnel mêlé d’humour. J’ai eu des frissons, des larmes aux yeux, j’ai éclaté de rire et j’ai même, à plusieurs moments, retenu mon souffle par le jeu de Léon Vitale dans le rôle du colocataire… Mais je n’en dirai pas plus pour ne pas vous spoiler.
La mise en scène ajoute une touche d’irréel à l’ensemble, mélangeant contact avec le public, dessins projetés au fond de scène et les musiques envoûtantes (de Julien Limonne) à l’histoire inspirée des BD de Domas. Le tout apporte une touche "à la Amélie Poulain" qui ravira les spectateurs. Une jeune femme pleurait de bonheur à la fin, une autre venait pour la troisième fois… Les plus jeunes (il y avait des enfants en ce dimanche après-midi) ont ri de bon cœur. Toute la salle était unanime et les sourires bien réels.
Je ne peux que vous inviter à découvrir cette bulle théâtrale et personnellement, je pense que je retournerai les voir pour reprendre une dose de positivisme… et d’amour.
Au milieu de toutes ces histoires, comme des planches de dessins, Max rencontre Coquillage, une jeune femme ne croyant plus dans l’amour. Et pour une fois, il n’a plus envie de virevolter, de papillonner… Aurait-il trouver la bonne ? Celle qui le comprendra ?
Pendant plus d’une heure, ces trois très bon comédiens nous font découvrir une quinzaine de personnage différents. Chaque histoire est écrite comme une bulle de bande dessinée. L’auteur apporte ici une vraie touche d’amour passionnel mêlé d’humour. J’ai eu des frissons, des larmes aux yeux, j’ai éclaté de rire et j’ai même, à plusieurs moments, retenu mon souffle par le jeu de Léon Vitale dans le rôle du colocataire… Mais je n’en dirai pas plus pour ne pas vous spoiler.
La mise en scène ajoute une touche d’irréel à l’ensemble, mélangeant contact avec le public, dessins projetés au fond de scène et les musiques envoûtantes (de Julien Limonne) à l’histoire inspirée des BD de Domas. Le tout apporte une touche "à la Amélie Poulain" qui ravira les spectateurs. Une jeune femme pleurait de bonheur à la fin, une autre venait pour la troisième fois… Les plus jeunes (il y avait des enfants en ce dimanche après-midi) ont ri de bon cœur. Toute la salle était unanime et les sourires bien réels.
Je ne peux que vous inviter à découvrir cette bulle théâtrale et personnellement, je pense que je retournerai les voir pour reprendre une dose de positivisme… et d’amour.
Jérôme Goy
24/11/2016

AVIGNON
Fabrik Théâtre
de Michael Morpurgo
Mise en scène de Jean-Louis Kamoun
Juste le titre entraîne la question "Pourquoi" ?Oui pourquoi le grand violoniste Paolo Levi refuse de jouer du Mozart et aussi pourquoi se braque-t-il en entendant du Mozart même dans la rue. Si un journaliste, un reporter lui pose la question interdite, le Maître se ferme, se fâche,...
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Le Radeau de la Méduse
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