Les Divalala : Femme Femme Femme
de Angélique Fridblatt, Gabrielle Laurens, Marion Lépine
Mise en scène de Freddy Viau
Avec Angélique Fridblatt, Gabrielle Laurens, Marion Lépine
Trois divas esseulées racontent en chansons et tubes français leurs parcours amoureux et leurs reflexions sur la vie. Drôle et tonique, ce spectacle d'humour musical est une joyeuse réussite !
Après le succès de leur premier spectacle Chansons d'amour traficotées, Les Divalala, trio de comédiennes-chanteuses-musiciennes, proposent leur toute dernière création d'humour musical. Le temps d'une parenthèse nocturne pleine de fièvre et d'excès, ces trois tornades racontent leurs parcours de femmes, après une rupture amoureuse, s'interrogeant en chansons sur la vie, le temps qui passe, leurs failles et leurs forces...
Elles font leur entrée tonitruante, vêtues de fourreaux noirs argentés, en chantant un Laissez-moi danser (Dalida) tout en dynamisme. Le ton est donné ! « On est diva ou on ne l'est pas ! » scandent-elles malicieuses. Trois belles voix à l'unisson qui misent sur l'audace musicale, mélange de variété française et reprise de tubes intemporels : de Souchon à Stromae, d'Ophélie Winter à Dalida, de Régine à Beyoncé.
A Capella ou sur des arrangements musicaux, entre rire et émotion, elles font vibrer le public dans une prestation glam roc, chic ou kitsch. Pour Je te survivrai , elles utilisent des ustensiles ménagers, créant un décalage, tout en réfléchissant sur le comportement masculin. Leurs voix se répondent harmonieusement, variant les registres, tout en gardant un humour parfois féroce mâtiné d'espièglerie. De plus, elles sont sexy et la gent masculine apprécie beaucoup !
Les divas passent de moments poétiques (Voyage voyage de Desireless avec une harpe électronique) à des rythmes plus décapants (Single ladies de Beyoncé). Elles ne lésinent pas sur les détails : costumes chatoyants ou délirants, perruques, paillettes, lumières toniques... Elles font revivre ces chansons avec délectation, nous faisant redécouvrir des textes parfois oubliés, suscitant diverses émotions. Un joyeux moment à ne pas rater !
Elles font leur entrée tonitruante, vêtues de fourreaux noirs argentés, en chantant un Laissez-moi danser (Dalida) tout en dynamisme. Le ton est donné ! « On est diva ou on ne l'est pas ! » scandent-elles malicieuses. Trois belles voix à l'unisson qui misent sur l'audace musicale, mélange de variété française et reprise de tubes intemporels : de Souchon à Stromae, d'Ophélie Winter à Dalida, de Régine à Beyoncé.
A Capella ou sur des arrangements musicaux, entre rire et émotion, elles font vibrer le public dans une prestation glam roc, chic ou kitsch. Pour Je te survivrai , elles utilisent des ustensiles ménagers, créant un décalage, tout en réfléchissant sur le comportement masculin. Leurs voix se répondent harmonieusement, variant les registres, tout en gardant un humour parfois féroce mâtiné d'espièglerie. De plus, elles sont sexy et la gent masculine apprécie beaucoup !
Les divas passent de moments poétiques (Voyage voyage de Desireless avec une harpe électronique) à des rythmes plus décapants (Single ladies de Beyoncé). Elles ne lésinent pas sur les détails : costumes chatoyants ou délirants, perruques, paillettes, lumières toniques... Elles font revivre ces chansons avec délectation, nous faisant redécouvrir des textes parfois oubliés, suscitant diverses émotions. Un joyeux moment à ne pas rater !
Mary Matys
21/11/2016
PARIS
Comédie Bastille
Mise en scène de Xavier Lemaire
Quatre institutrices d'une école parisienne du 11ème arrondissement se retrouvent pour préparer la rentrée scolaire de 1942. Elles attendent patiemment les enfants. Mais leur liste se réduit comme peau de chagrin. Les petites Juives manquent à l’appel. Où sont-elles ? Certaines...
L'avis de Joseph Agostini
Comédie Bastille
PARIS
Rentrée 42 : Bienvenue les enfants
de Pierre-Olivier Scotto, Xavier LemaireMise en scène de Xavier Lemaire
Quatre institutrices d'une école parisienne du 11ème arrondissement se retrouvent pour préparer la rentrée scolaire de 1942. Elles attendent patiemment les enfants. Mais leur liste se réduit comme peau de chagrin. Les petites Juives manquent à l’appel. Où sont-elles ? Certaines...
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