




Je suis contre la mort
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Du 07/07/2016 au 30/07/2016
16h45.
Les Hauts Plateaux (La Manutention)
4, rue des Escaliers Sainte Anne
840000 AVIGNON
Site Internet
Vitalité (nom commun, féminin, du latin vitalitas) : aptitude à la vie, aux mouvements. Soulevé par une musique électro-inventive et un verbe baroque,
Au lendemain des événements à Nice, qu’il y a-t-il de plus salvateur et humanisant que d’aller voir Je suis contre la mort, où les trois comédiens/musiciens parlent, chantent, dansent, respirent, transpirent la vitalité ! "Je suis contre la mort est un oratio électrique dont la source enfouie est née du désir de ne pas me laisser aller à ce sentiment d’impuissance désabusée que j’éprouve dans ma pratique quotidienne du monde et des hommes…"
A priori, nous sommes dans un aéroport, un à un, les membres d’un équipage arrivent et s’installent sur les banquettes en attendant… On entend des valises roulées, des jingles se répéter, des annonces de retard de vol... Des jeux s’organisent entre ces collègues, le fil rouge du spectacle : un brainstorming de nom de phobie. C’est l’heure d’embarquer, le décollage approche, deux cockpits musicaux se forment de part et d’autre de la scène, deux stewards au centre au micro. Quand ces quatre comédiens ne sont pas affairés à leur rôle d’employé de l’aéroport, ils sont simples passagers, simples humains, comme vous et moi. Ils partagent leurs angoisses à travers un merveilleux concert de mots.
Le texte de François Chaffin est parsemé de décharges électriques qui ont le pouvoir magique de nous vivifier, de nous fragiliser tout en nous rendant plus fort, de nous émouvoir sans nous abattre, de nous faire rire à travers des pensées poétiques. On ne veut plus être procrastinateur, on veut littéralement plonger dans le grand bain de la vie et envoyer balader toutes les peurs qui nous paralysent, nous empêchent, nous isolent.
Si chaleur, enthousiasme, ferveur, exaltation, emportement, hardiesse, bouillonnement, joie, sève, punch sont des synonymes de "vitalité", on peut déduire que ces quatre artistes ont le génie de transposer somptueusement ces états au plateau !
A priori, nous sommes dans un aéroport, un à un, les membres d’un équipage arrivent et s’installent sur les banquettes en attendant… On entend des valises roulées, des jingles se répéter, des annonces de retard de vol... Des jeux s’organisent entre ces collègues, le fil rouge du spectacle : un brainstorming de nom de phobie. C’est l’heure d’embarquer, le décollage approche, deux cockpits musicaux se forment de part et d’autre de la scène, deux stewards au centre au micro. Quand ces quatre comédiens ne sont pas affairés à leur rôle d’employé de l’aéroport, ils sont simples passagers, simples humains, comme vous et moi. Ils partagent leurs angoisses à travers un merveilleux concert de mots.
Le texte de François Chaffin est parsemé de décharges électriques qui ont le pouvoir magique de nous vivifier, de nous fragiliser tout en nous rendant plus fort, de nous émouvoir sans nous abattre, de nous faire rire à travers des pensées poétiques. On ne veut plus être procrastinateur, on veut littéralement plonger dans le grand bain de la vie et envoyer balader toutes les peurs qui nous paralysent, nous empêchent, nous isolent.
Si chaleur, enthousiasme, ferveur, exaltation, emportement, hardiesse, bouillonnement, joie, sève, punch sont des synonymes de "vitalité", on peut déduire que ces quatre artistes ont le génie de transposer somptueusement ces états au plateau !
Aurore Bacquié
24/07/2016

AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
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AVIGNON



Solitude d'un ange gardien
de Aude De TocquevilleMise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
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AVIGNON
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
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AVIGNON
Théâtre du Chêne Noir
UNE HEURE A T'ATTENDRE
de Sylvain Meyniac
Mise en scène de Delphine De Malherbe
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de Sylvain Meyniac
Mise en scène de Delphine De Malherbe