


Cabaret La Chatte bleue
de Guillaume Ollivier Berno
Mise en scène de Guillaume Ollivier Berno
Avec Nadine Girard, Fredy Renaud, Nikola Takov, Jean-Luc Voyeux
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Du 04/03/2015 au 29/04/2015
Tous les mardis et mercredis à 21h30.
Théâtre Clavel
3, rue Clavel
75019 PARIS
Métro Pyrénées
09 75 45 60 56
Site Internet
Un spectacle musical enlevé et divertissant, au coeur du Paris des années 30.
Anthéa Washington, meneuse de revue au cabaret La Chatte bleue a pour "habitude" de tuer ses divers partenaires de scène... L’inspecteur Marcel Richard est sur l’affaire ! Il se fait engager pour devenir son nouveau partenaire. Une couverture idéale pour mener à bien son enquête. Sauf que ce policier ne manque pas de charme et séduit Anthéa... mettant ainsi sa mécanique meurtrière en déroute. L’amour se substituant à la mort !
Ce spectacle musical tout à fait charmant, présenté comme un polar musical, n’en est pas vraiment un. L’enquête se résume à la découverte d’un simple mouchoir taché de sang, retrouvé dans le peignoir d'Anthéa, la rendant ainsi coupable. C'est plutôt un joli prétexte pour plonger le spectateur dans l’univers des cabarets des années 30. Le public est le témoin privilégié de la répétition du nouveau spectacle de Miss Washington et de la naissance de son histoire d’amour avec son partenaire Marcel Richard. Il redécouvre, malgré des voix manquant parfois un peu d’éclat, certains classiques de la chanson française comme J’ai deux amours, Que reste-t-il de nos amours, Dans la vie faut pas s’en faire,... Des chansons du composteur de Youkali, Kurt Weill, (Je ne t’aime pas, Nous n’avons pas de papiers officiels) et bien d’autres encore. Le tout accompagné par un pianiste.
Les comédiens-chanteurs et danseurs joliment vêtus de costumes rappelant les années 30 évoluent dans un décor sobre mais élégant : une tour Effel lumineuse. Ctette immersion en musique dans l'univers des cabarets de l'entre-deux-guerres est tout à fait divertissante et mérite le détour. Les amateurs de cette époque apprécieront tout particulièrement.
Ce spectacle musical tout à fait charmant, présenté comme un polar musical, n’en est pas vraiment un. L’enquête se résume à la découverte d’un simple mouchoir taché de sang, retrouvé dans le peignoir d'Anthéa, la rendant ainsi coupable. C'est plutôt un joli prétexte pour plonger le spectateur dans l’univers des cabarets des années 30. Le public est le témoin privilégié de la répétition du nouveau spectacle de Miss Washington et de la naissance de son histoire d’amour avec son partenaire Marcel Richard. Il redécouvre, malgré des voix manquant parfois un peu d’éclat, certains classiques de la chanson française comme J’ai deux amours, Que reste-t-il de nos amours, Dans la vie faut pas s’en faire,... Des chansons du composteur de Youkali, Kurt Weill, (Je ne t’aime pas, Nous n’avons pas de papiers officiels) et bien d’autres encore. Le tout accompagné par un pianiste.
Les comédiens-chanteurs et danseurs joliment vêtus de costumes rappelant les années 30 évoluent dans un décor sobre mais élégant : une tour Effel lumineuse. Ctette immersion en musique dans l'univers des cabarets de l'entre-deux-guerres est tout à fait divertissante et mérite le détour. Les amateurs de cette époque apprécieront tout particulièrement.
Jennifer Moret
01/04/2015

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare

PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
de Jérémy ManesseMise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot