




Sillons
de Brahim Bouchelaghem
Mise en scène de Brahim Bouchelaghem
Avec Fouad Atzouza, Alhousseyni N’Diaye, Jules Leduc, Takeo Ishii, Sacha Vangrevelynghe, Brahim Bouchelaghem
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Du 10/07/2014 au 20/07/2014
19 h 30.
CDC
18 rue Guillaume Puy
84000 AVIGNON
L'énergie démultipliée "comme un caillou dans une flaque d'eau".
C'est en ses termes que s'exprime le jeune chorégraphe roubaisien pour parler de l'espace scénique dans lequel il nous offre Sillons son dernier spectacle chorégraphique. Sillons est en quelque sorte une pièce sans histoire mais qui parle à chacun différemment. A Londres, une spectatrice avait demandé au chorégraphe comment "il mangeait" l’espace scénique, ce dernier à donné naissance alors à cette pièce composée de six interprètes, dont lui-même, pour occuper toute la scène, toutes les positions dans l'espace, les allures , les présences humaines seules ou a deux sont toutes là pour exprimer l’énergie démultipliée (« comme un caillou lancé dans une flaque d’eau », dit joliment le Roubaisien) et narrer dans l'action et les gestes appropriés ce que veulent dire les traces laissées au sol.
La scène est littéralement dévorée par les déplacements du danseur, les mouvement de stress ou d'accalmie. C’est pourquoi ce spectacle on l'observe dans les ralentis et micro-mouvements autant que dans l'impression que les danseurs volent sans aucun trucage. Les quatre danseurs qui entourent Brahim Bouchelaghem ont leur parcours et occupent la scène et disposent d'elle dans son dépouillement de tapis posés ça et là.
Au rythme d'une musique répétitive que l'on doit à Nicolas Zorzi, la géométrie des lignes empruntée par les danseurs leur confère un genre humanoïde comme s'il étaient des êtres aux dons inimaginables pour qu'on ne puisse pas les imaginer seulement humains. Nos yeux sont littéralement happés par ces six corps et irrépressiblement on a besoin de les suivre des yeux sans en perdre une miette tellement c'est captivant.
La plupart de ces danseurs viennent du hip-hop sans pour autant méconnaître la danse contemporaine. On est d'ailleurs bluffé par cette poly-compétence que les applaudissements d'une salle comble lors du festival Off en Avignon vient saluer à juste titre.
Derrière ces six danseurs que sont Fouad Atzouza, Alhousseyni N’Diaye, Jules Leduc, Takeo Ishii, Sacha Vangrevelynghe et Brahim Bouchelaghem se cachent des être que tout lie ou tout sépare, origine sociale , famille, pour finalement ne retenir que la cohésion d'un travail passionné conduit à un universalité et que cette communion d'horizons divers est une ouverture au monde et ouvre aussi les yeux aux spectateurs.
La scène est littéralement dévorée par les déplacements du danseur, les mouvement de stress ou d'accalmie. C’est pourquoi ce spectacle on l'observe dans les ralentis et micro-mouvements autant que dans l'impression que les danseurs volent sans aucun trucage. Les quatre danseurs qui entourent Brahim Bouchelaghem ont leur parcours et occupent la scène et disposent d'elle dans son dépouillement de tapis posés ça et là.
Au rythme d'une musique répétitive que l'on doit à Nicolas Zorzi, la géométrie des lignes empruntée par les danseurs leur confère un genre humanoïde comme s'il étaient des êtres aux dons inimaginables pour qu'on ne puisse pas les imaginer seulement humains. Nos yeux sont littéralement happés par ces six corps et irrépressiblement on a besoin de les suivre des yeux sans en perdre une miette tellement c'est captivant.
La plupart de ces danseurs viennent du hip-hop sans pour autant méconnaître la danse contemporaine. On est d'ailleurs bluffé par cette poly-compétence que les applaudissements d'une salle comble lors du festival Off en Avignon vient saluer à juste titre.
Derrière ces six danseurs que sont Fouad Atzouza, Alhousseyni N’Diaye, Jules Leduc, Takeo Ishii, Sacha Vangrevelynghe et Brahim Bouchelaghem se cachent des être que tout lie ou tout sépare, origine sociale , famille, pour finalement ne retenir que la cohésion d'un travail passionné conduit à un universalité et que cette communion d'horizons divers est une ouverture au monde et ouvre aussi les yeux aux spectateurs.
Yves-Alexandre Julien
22/07/2014

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