Tout bascule
de Olivier Lejeune
Mise en scène de Olivier Lejeune
Avec Georges Beller, Olivier Lejeune, Julie Arnold, Andrée Damant, Stéphane Malassenet, Michel Derville, Michèle Kern
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Jusqu'au 21/03/2004
Du mardi au vendredi à 20 h 30, samedi à 17 heures et 21 heures,
dimanche à 15 heures.
Bobino
14-20 rue de la Gaîté
75014 PARIS
Métro Gaîté
08 2000 9000 (0,09€ / min)
Site Internet
Le mariage le plus court de l’histoire. Qu’est-ce qui peut bien pousser un homme à divorcer deux heures après s’être marié ? Un déferlement de catastrophes et de quipropos permettant à ces sept personnages de se déchaîner à un rythme d’enfer.
Jacques Lasségué (Georges Beller), coureur invétéré de jupons, se marie enfin après quatorze ans de vie commune avec Corinne (Julie Arnold). Il faut dire qu’il y est quelque peu contraint, étant donné que sa promise est tout de même enceinte de près de six mois et que cette dernière tient absolument à régulariser cette situation, de peur de se voir tout bonnement déshéritée par ses parents. Et c’est précisément ce jour-là que choisit Jean Tourille (Olivier Lejeune) pour annoncer que celle qui a été sa femme, Emmanuelle Touriller (Michèle Kern) et la maîtresse de Jacques est tragiquement décédée et qu’il ne souhaite qu’accomplir les dernières volontés de la défunte : disperser ses cendres sur le lit de Jacques !
Là-dessus, débarque Michel Rolors (Michel Derville), homme politique en passe de devenir le futur Président de la France, pour retirer à Jacques son budget communication. Mais c’est sans compter sur Lucie Lasségué (Andrée Damant), l’éternel souffre douleur de son frère Jacques, qui ne peut se résoudre à un tel coup du destin et se promet de tout mettre en uvre pour faire changer d’avis le politicien le plus en vue du moment. Bien sûr, tout irait dans le meilleur des mondes si le journaliste Christian Querrochot (Stéphane Malassenet) ne venait y ajouter son petit grain de sel...Le début de cette comédie tarde à se mettre véritablement en place, très certainement à cause des dialogues beaucoup trop longs. Mais l’apparition soudaine du personnage joué par Julie Arnold va amener davantage de liant à la pièce et lui donner une certaine consistance jusqu’à ce qu’elle prenne enfin son envol.
Les répliques sont de bonnes factures, même si les bons jeux de mots se bousculent un peu trop, déclinés sans cesse sur le même thème.Andrée Dumant joue une sur qui se veut branchée, bout en train, follement gaie. Elle est pleine de dynamisme et n’épargne pas ses efforts.
Par ailleurs, certains effets de mise en scène originaux méritent d’être repris, tels que la présence sur scène de six personnages complètement immobiles tandis que le septième distille son monologue.Le sourire est davantage de mise que le rire. Un bémol, tout de même : pourquoi diable les pièces modernes se croient-elles obligées d’affliger inexorablement un moment de rap, complètement décalé et hors de propos ? Une fois de plus, la pièce n’échappe pas à ce phénomène de société !
Là-dessus, débarque Michel Rolors (Michel Derville), homme politique en passe de devenir le futur Président de la France, pour retirer à Jacques son budget communication. Mais c’est sans compter sur Lucie Lasségué (Andrée Damant), l’éternel souffre douleur de son frère Jacques, qui ne peut se résoudre à un tel coup du destin et se promet de tout mettre en uvre pour faire changer d’avis le politicien le plus en vue du moment. Bien sûr, tout irait dans le meilleur des mondes si le journaliste Christian Querrochot (Stéphane Malassenet) ne venait y ajouter son petit grain de sel...Le début de cette comédie tarde à se mettre véritablement en place, très certainement à cause des dialogues beaucoup trop longs. Mais l’apparition soudaine du personnage joué par Julie Arnold va amener davantage de liant à la pièce et lui donner une certaine consistance jusqu’à ce qu’elle prenne enfin son envol.
Les répliques sont de bonnes factures, même si les bons jeux de mots se bousculent un peu trop, déclinés sans cesse sur le même thème.Andrée Dumant joue une sur qui se veut branchée, bout en train, follement gaie. Elle est pleine de dynamisme et n’épargne pas ses efforts.
Par ailleurs, certains effets de mise en scène originaux méritent d’être repris, tels que la présence sur scène de six personnages complètement immobiles tandis que le septième distille son monologue.Le sourire est davantage de mise que le rire. Un bémol, tout de même : pourquoi diable les pièces modernes se croient-elles obligées d’affliger inexorablement un moment de rap, complètement décalé et hors de propos ? Une fois de plus, la pièce n’échappe pas à ce phénomène de société !
Olivier Billaud
25/02/2004

AVIGNON
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