




Le Prince Inodore
de Syndie Kourte, Benoit Urbain
Mise en scène de Syndie Kourte, Benoit Urbain
Avec Syndie Kourte, Benoit Urbain
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Du 27/03/2013 au 29/05/2013
Mercredi et samedi à 14h.
Théâtre de Nesle
8, rue de Nesle
75006 PARIS
Métro Odéon
01 46 34 61 04
Sur le lutrin, tournent les pages d’un conte fantastique sublimé par la voix de Syndie Kourte, accompagnée au piano par le talentueux Benoit Urbain.
Paris, un recel de théâtres au cachet... Historique comme ce conte, Le Prince Inodore, qui se joue actuellement au théâtre de Nesle. Rue de Nesle, un havre de tranquillité et de charme à deux pas de l’Institut de France, en aval du quai des Grands Augustins et de la rue Dauphine. Un berceau du VIe arrondissement où l’histoire de Paris s’est écrite pour ne jamais se déconstruire, à l’image de l’architecture des édifices du quartier.Théâtre de Nesle, rendez-vous au XVIIe siècle. Un passage agrémenté de pavés, des arbustes disposés de par et d’autre, une porte poussée vers l’intérieur d’un hôtel particulier datant de l’époque de Corneille, Scarron et Molière où deux salles accueillent une programmation éclectique.Le Prince Inodore, un conte pour les enfants dès 6 ans et pour les adultes dont les rêves... Quelques marches en contrebas accèdent à une salle atypique. La scénographie, la conjonction de l’élégance et de la sobriété. Le piano droit fait la touche en noir et blanc au lutrin.Lumière à l’entrée du musicien, Benoit Urbain. Les doigts libèrent une envolée de notes, lesquels glissent avec virtuosité sur les touches du piano. A la beauté du geste, s’accompagne l’exigence du pianiste dont le regard vit "en portées" l’arrivée de la conteuse.La comédienne, Syndie Kourte, entre en scène comme une hirondelle qui se pose avec raffinement sur le fil du conte. Une présence en apesanteur, le pas tutoie le parquet avec la même discrétion que les frôlements de la robe, une création fraîcheur et tendresse, portée par la conteuse.Auteure de La Motte de Beurre, Syndie joue, in situ, sa nouvelle création, Le Prince Inodore. Un conte musical qui mêle subtilement l’imaginaire au factuel.Dans le royaume d’Almavie, vivaient le roi et la reine portant chagrin comme diadème de ne pas pouvoir enfanter. Dame nature représentée par un chêne annonça à la reine la naissance à venir d’un fils. A cette nouvelle "royale", la suite révèle des lendemains déchantant, lesquels vont conduire l’Almavie à vivre un désordre comme jamais. Que deviendra le jeune Prince ?A l’écriture du texte, il convient d’associer la musicalité des mots décrochés d’une partition intemporelle. Lesquels se confondent dans une épopée lyrique et féerique sans feindre les guillemets ouverts sur les problématiques contemporaines.L’alchimie de ce spectacle. La composition artistique articulée autour de la musique, des chants et du récit. L’originalité se concentre sur l’évolution du héros qui chevauche le temps et l’existence en musique.Renié dès la naissance par son roi de père, ce dernier décide que l’enfant sera tué. La mère emporte son fils loin du château et fuit jusqu'à trouver refuge au village des Almaviettes. Guidée par la fée Alma, elle a suivi la voix de la raison.
Quel petit garçon n’a jamais rêvé Prince et cheval blanc ? L’homme, avant de construire son histoire, vit de rêves et ce, avant de rêver d’en vivre. Si une force maléfique les lui ôte, que deviendrait-il ?Les effets de lumière suivent le fil de l’histoire, à croire que la mise en scène a été pensée en symbiose avec l’écriture. Ils s’ajustent en clair-obscur à la voix de la conteuse quand la situation s’assombrit et illustrent de mille éclats, les véhémences textuelles. Le pianiste, sous un halo protecteur, partage l’aventure du Prince en lui insufflant des airs qui le mettront en confiance, quelque soit les situations.Le conte vibre au son de la voix de Syndie Kourte, le verbe se veut délicat et l’adjectif puissant selon la teneur exprimée. Enfants et parents sont captivés par ce merveilleux conte qui s’apprécie comme les pages d’un livre tournées pour ne plus jamais être refermé.Le Prince Inodore, c’est la joie de découvrir une histoire mélangeant les extrêmes, légèreté et profondeur, liberté et solitude.
Un texte mis en résonance par une voix fraîche et sincère, celle de Syndie Kourte, et par la virtuosité de Benoit Urbain, compositeur et interprète de la musique du conte.Le présent s’efface cinquante minutes durant car la magie du temps opère jusqu'au 29 mai au théâtre de Nesle.
Quel petit garçon n’a jamais rêvé Prince et cheval blanc ? L’homme, avant de construire son histoire, vit de rêves et ce, avant de rêver d’en vivre. Si une force maléfique les lui ôte, que deviendrait-il ?Les effets de lumière suivent le fil de l’histoire, à croire que la mise en scène a été pensée en symbiose avec l’écriture. Ils s’ajustent en clair-obscur à la voix de la conteuse quand la situation s’assombrit et illustrent de mille éclats, les véhémences textuelles. Le pianiste, sous un halo protecteur, partage l’aventure du Prince en lui insufflant des airs qui le mettront en confiance, quelque soit les situations.Le conte vibre au son de la voix de Syndie Kourte, le verbe se veut délicat et l’adjectif puissant selon la teneur exprimée. Enfants et parents sont captivés par ce merveilleux conte qui s’apprécie comme les pages d’un livre tournées pour ne plus jamais être refermé.Le Prince Inodore, c’est la joie de découvrir une histoire mélangeant les extrêmes, légèreté et profondeur, liberté et solitude.
Un texte mis en résonance par une voix fraîche et sincère, celle de Syndie Kourte, et par la virtuosité de Benoit Urbain, compositeur et interprète de la musique du conte.Le présent s’efface cinquante minutes durant car la magie du temps opère jusqu'au 29 mai au théâtre de Nesle.
Philippe Delhumeau
01/04/2013

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
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PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
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PARIS
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MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
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