Vincent ou l’âme bleue
de Anne-Marie Cellier
Mise en scène de Anne-Marie Cellier
Avec François Kopnia, Véronika Makaroff, Lionel Astier, Josée Drevon
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Jusqu'au 31/07/2003
Tous les jours à 14h30.
Théâtre le Ballon Rouge
40 rue de la Masse
84000 AVIGNON
Seule la toile le retient à la vie, le rappelle aux rêves et aux désirs d’un enfant libre et innocent qu’il n’aura jamais finalement été.
Vincent Van Gogh tend désespérément ses mains et fait comprendre qu’au bout du noir de sa détresse seules lui répondent les couleurs auxquelles il s’est entièrement consacré.
«La toile vierge m’appelle à l’amour» dit-il. Un amour que cet homme aura cherché toute sa vie à travers une absence qui le hante, celle de sa place, celle de la reconnaissance de son originalité par sa mère. Dans le vide de cette absence, la mémoire d’un frère mort, un premier Vincent qui aura hanté le peintre toute sa vie. Seul compagnon, seule bouée de secours, son frère Théo avec lequel il peut partager ses rêves
La couleur, belle et multiple, comme un soleil, est une réponse à la vie, alors qu’il a intériorisé la mort.Des images évidentes pour un Vincent né pour vivre. Mais, à quelle vie peut-il prétendre ? La torture psychique n’est jamais loin.Sur scène, une femme accompagne Vincent partout : elle incarne à la fois la mère, l’amour échoué et la toile vivante.
Le talent de conviction des deux acteurs complète admirablement bien le texte riche et captivant d’Anne-Marie Cellier.
Sur la trace des bouleversements d’une vie, la pièce permet de capter les origines du désir d’un homme en même temps que le génie d’un artiste.Un éclairage précieux sur un artiste décidément à découvrir sous bien des points de vues.
Vincent Van Gogh tend désespérément ses mains et fait comprendre qu’au bout du noir de sa détresse seules lui répondent les couleurs auxquelles il s’est entièrement consacré.
«La toile vierge m’appelle à l’amour» dit-il. Un amour que cet homme aura cherché toute sa vie à travers une absence qui le hante, celle de sa place, celle de la reconnaissance de son originalité par sa mère. Dans le vide de cette absence, la mémoire d’un frère mort, un premier Vincent qui aura hanté le peintre toute sa vie. Seul compagnon, seule bouée de secours, son frère Théo avec lequel il peut partager ses rêves
La couleur, belle et multiple, comme un soleil, est une réponse à la vie, alors qu’il a intériorisé la mort.Des images évidentes pour un Vincent né pour vivre. Mais, à quelle vie peut-il prétendre ? La torture psychique n’est jamais loin.Sur scène, une femme accompagne Vincent partout : elle incarne à la fois la mère, l’amour échoué et la toile vivante.
Le talent de conviction des deux acteurs complète admirablement bien le texte riche et captivant d’Anne-Marie Cellier.
Sur la trace des bouleversements d’une vie, la pièce permet de capter les origines du désir d’un homme en même temps que le génie d’un artiste.Un éclairage précieux sur un artiste décidément à découvrir sous bien des points de vues.
Cyrille Hrouda
27/07/2003

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
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