Monty Python’s II : flying circus
de J Cleese G Chapman, T Gilliam, E Iole, T Jones, M Palin, adaptation de M Jeanneret, L Goloutchiner
Mise en scène de Thomas Le Douarec
Avec Charles Ardillon Gauriat, Grégoire Bonnet, Yvan Garouel, Lucien Jean-Baptiste, Marie Parouty, Eric Savin
Le monde à l’envers. Voilà un peu la tendance de ce spectacle loufoque qui enchaîne les gags qui sont autant d’idées saugrenues. Tout commence par la descente de deux alpinistes qui descendent les gradins et rejoignent la scène sous les encouragements assidus de présentateurs télé. Le sketch d’après et ceux qui suivent n’ont rien à voir : une bande de cambrioleurs qui montent un plan très élaboré pour finalement acheter parfaitement légalement un bijou, un homme qui a un magnétophone dans le nez, un musicien qui joue en tapant sur des souris blanches, etc, etc… … C’est souvent grossier, vulgaire et, pire que tout, inutile. A leur décharge, le public raffole de ces âneries et cela a le mérite souvent de parodier la société actuelle. En outre, les comédiens sont prodigieux de rapidité pour jongler entre leurs différents rôles de femmes ou d’hommes.Pour un public acquis à cette forme d’humour qui serait, paraît-il, très british, Sir !
Hélène Chevrier
26/07/2003
PARIS
Comédie Bastille
Mise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
L'avis de Joseph Agostini
Comédie Bastille
PARIS
Le Radeau de la Méduse
de Alexandre DelimogesMise en scène de Alexandre Delimoges
En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile "Le radeau de la méduse" et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec ses "Misérables". Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis...
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