


Les Boulingrin et autres pièces

de Georges Courteline
Mise en scène de Marjolaine Humbert
Avec Clémence Fougea, Marjolaine Humbert, Valentin Papoudof, Christophe Truchi
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Du 16/10/2011 au 18/12/2011
Tous les dimanches à 17h.
L'Auguste Théâtre
6, impasse Lamier
75011 PARIS
Métro Philippe Auguste (ligne 2)
01 48 78 06 68
Site Internet
Le couple, source éternelle d'inspiration est traité par l'un de nos plus grands auteurs français et caricaturiste de génie : Georges Courteline.
Conteur aguerri à la plume acerbe, George Courteline, nous plonge ici dans l’étude de murs de quelques couples bourgeois (ou presque) du XIXe siècle. Les Boulingrins et autres pièces parle d’amour, de mariage et de connivence, pour le pire et... pour le pire ! Le spectacle et constitué de quatre pièces en un acte et nous entrons dans le vif du sujet avec La Voiture versée, mettant en scène un vaudeville aux apparences trompeuses, une histoire de
jalousie plus que calculée et jouant, comme le spectacle continuera à le faire par la suite, sur des ressorts de comique et de tension très aiguisés. Du sucre au rhum, la séduction fait place à la peur pour le grand plaisir du public.Vient ensuite La Paix chez soi, où l'on retrouve un certain Trielle, écrivaillon et feuilletoniste à la ligne sans grand talent. Sa douce et tendre semble plus intéressée par l’argent du ménage, la critique assassine et une étrange passion pour les lanternes qu’à son placide écrivain de mari.Dans La Peur des coups, un homme pusillanime accuse sa femme une fois encore de s'être faite
peloter par un "pousse-cailloux" durant la soirée, celle-ci va donc en profiter pour remettre les choses dans leur vrai contexte et ainsi le faire tourner en bourrique dans sa propre pleutrerie.Viennent enfin les Boulingrin, bouquet final du spectacle, l’étincelle qui fera éclater toutes les tensions accumulées jusque là chez les différents couples, dans un feu d’artifice des plus
rocambolesques ! Nous voilà introduits sur le champ de bataille par un veule pique-assiette, le bien nommé Monsieur des Rillettes, pour l’observer ensuite, avec un plaisir certain, se faire écarteler sur l’autel du désamour.La mécanique du spectacle est très bien huilée et les quatuors s’enchaînent à merveille : quatre
comédies, quatre comédiens, quatre couples. Les protagonistes sont excellents, bourrés d'énergie, la mise en scène est bien calculée, rythmée et nous sommes, à chaque changement
de décors (exécuté par les acteurs eux-mêmes), bercés par des chansons du début du siècle, merveilleusement interprétées par Clémences Fougea.Les costumes d’époque réalisés par Marion Fortini s’intègrent parfaitement au décor et aux personnages. Ils servent autant d’accessoires que de repère visuel, voire comique. Bref, voilà une pièce fraîche, qui donne le sourire. Dames et messieurs y trouveront leur bon compte.
jalousie plus que calculée et jouant, comme le spectacle continuera à le faire par la suite, sur des ressorts de comique et de tension très aiguisés. Du sucre au rhum, la séduction fait place à la peur pour le grand plaisir du public.Vient ensuite La Paix chez soi, où l'on retrouve un certain Trielle, écrivaillon et feuilletoniste à la ligne sans grand talent. Sa douce et tendre semble plus intéressée par l’argent du ménage, la critique assassine et une étrange passion pour les lanternes qu’à son placide écrivain de mari.Dans La Peur des coups, un homme pusillanime accuse sa femme une fois encore de s'être faite
peloter par un "pousse-cailloux" durant la soirée, celle-ci va donc en profiter pour remettre les choses dans leur vrai contexte et ainsi le faire tourner en bourrique dans sa propre pleutrerie.Viennent enfin les Boulingrin, bouquet final du spectacle, l’étincelle qui fera éclater toutes les tensions accumulées jusque là chez les différents couples, dans un feu d’artifice des plus
rocambolesques ! Nous voilà introduits sur le champ de bataille par un veule pique-assiette, le bien nommé Monsieur des Rillettes, pour l’observer ensuite, avec un plaisir certain, se faire écarteler sur l’autel du désamour.La mécanique du spectacle est très bien huilée et les quatuors s’enchaînent à merveille : quatre
comédies, quatre comédiens, quatre couples. Les protagonistes sont excellents, bourrés d'énergie, la mise en scène est bien calculée, rythmée et nous sommes, à chaque changement
de décors (exécuté par les acteurs eux-mêmes), bercés par des chansons du début du siècle, merveilleusement interprétées par Clémences Fougea.Les costumes d’époque réalisés par Marion Fortini s’intègrent parfaitement au décor et aux personnages. Ils servent autant d’accessoires que de repère visuel, voire comique. Bref, voilà une pièce fraîche, qui donne le sourire. Dames et messieurs y trouveront leur bon compte.
Vanessa Perea
16/11/2011

AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
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Solitude d'un ange gardien
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LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
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UNE HEURE A T'ATTENDRE
de Sylvain Meyniac
Mise en scène de Delphine De Malherbe
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