


De Profundis
de Oscar Wilde
Mise en scène de Marjolaine Humbert
Avec Christophe Truchi
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Du 08/07/2010 au 30/07/2010
12h30.
Les Ateliers d'Amphoux
10-12, rue d'Amphoux
84000 AVIGNON
04 90 86 17 12
Oscar Wilde a écrit cette longue lettre depuis sa cellule de prison où il est incarcéré depuis deux ans pour crimes "contre les moeurs".
Le vice suprême est d’être superficiel et Christophe Truchi n’en est pas du tout coupable en nous offrant une adaption profonde de cette lettre écrite en prison par Oscar Wilde à son amant. Emouvant, la force du texte est intensifiée par le jeu de comédien qui nous transmet sa grande passion pour la littérature. Seul sur scène, Christophe Truchi incarne avec excellence Wilde dans ses moments les plus durs. En prison, il réfléchit sur son passé et sa relation destructrice avec Alfred Douglas. Toujours amoureux, il lui reproche et évoque toutes les blessures qu’il lui a infligées.Il décrit aussi les conditions d’emprisonnement, représentées par un décor très épuré. Seule une bougie éclaire la scène, reflétant sa solitude, ses douleurs physiques mais surtout les douleurs de l’âme. Son vice suprême, la superficialité, est tuée par tant de souffrance et de refléxion.Comme le souffle de la bougie qui s’éteind, avec De Profundis, on est témoin de la multitude d’émotions dans le cur de Wilde, et on en est profondément touché.
Helen Gush
26/07/2010

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

