Petit lundi, grosse semaine
de Hélène Serres, Corinne Berron
Mise en scène de Jean-Christophe Barc
Avec Marilyn Héraud, Hélène Serres
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Du 22/01/2003 au 28/02/2003
du lundi au samedi à 20 h.
Edgar Théâtre
58, Bd Edgar Quinet
75014 PARIS
Métro Edgar-Quinet
01 42 79 97 97
Julie Camille (Marilyn Héraud) et Sylvie (Hélène Serres) se retrouvent le lundi matin à leur travail.
Ces deux femmes, très différentes l’une de l’autre, commencent par se raconter leurs week-end respectifs : c’est le début des cancans et autres papotages en tout genre. Et lorsqu’elles décident de se mettre à travailler, il y a une panne du réseau informatique : quand la fatalité s’en mêle !
Julie Camille qui mène une petite vie sans anicroches, a pris la résolution de ne plus fumer. Peu à peu son manque de volonté l’envahit, aussi téléphone-t-elle à un centre spécialisé afin de bénéficier d’un soutien psychologique. Sur ce, elle reçoit un coup de téléphone de sa nounou qui l’informe que son fils Arthur à 37.9 de température ! Elle panique, essaye en vain de joindre son mari. De surcroît, elle vient de passer un week-end horrible : elle s’est bloqué le dos et a dû patienter pendant plus de cinq heures avant de pouvoir joindre SOS médecin.
Pour à Sylvie, le week-end fut idyllique. Cette célibataire, en quête du grand amour depuis des années, croit l’avoir rencontré en la personne de Charles, riche banquier habitant sur une péniche. Elle n’a plus qu’une idée en tête : son nouveau petit ami doit la joindre par téléphone d’un instant à l’autre et attend ce moment avec impatience.
Les rôles semblent être taillés sur mesure pour Marilyn Héraud et Hélène Serres qui nous donnent vraiment la sensation d’être restées au travail. Elles jouent juste et leur complémentarité est remarquable.
Les deux auteurs que sont Hélène Serres et Corinne Berron ont fait preuve d’un sens aigu de l’observation – et certainement du vécu - à tel point que l’on a réellement l’impression de se retrouver au bureau ! En effet, qui peut prétendre ne pas connaître des collègues qui arrivent au travail à 10h du matin, ceux qui ne sont là que pour leurs préoccupations personnelles, les sempiternels problèmes auxquels l’on est sans cesse confronté (panne de réseau informatique…), des notes de frais qui ont du mal à passer auprès du service comptable, éloigner un collègue gênant sous un prétexte fallacieux afin de pouvoir passer ses coups de téléphone personnels à l’abri des oreilles indiscrètes…
Les dialogues sont désopilants de vérité et sonnent juste. Du reste le public ne s’y trompe pas une seconde et l’on rit du début à la fin des petits tracas qui arrivent à nos deux publicistes.
Pour à Sylvie, le week-end fut idyllique. Cette célibataire, en quête du grand amour depuis des années, croit l’avoir rencontré en la personne de Charles, riche banquier habitant sur une péniche. Elle n’a plus qu’une idée en tête : son nouveau petit ami doit la joindre par téléphone d’un instant à l’autre et attend ce moment avec impatience.
Les rôles semblent être taillés sur mesure pour Marilyn Héraud et Hélène Serres qui nous donnent vraiment la sensation d’être restées au travail. Elles jouent juste et leur complémentarité est remarquable.
Les deux auteurs que sont Hélène Serres et Corinne Berron ont fait preuve d’un sens aigu de l’observation – et certainement du vécu - à tel point que l’on a réellement l’impression de se retrouver au bureau ! En effet, qui peut prétendre ne pas connaître des collègues qui arrivent au travail à 10h du matin, ceux qui ne sont là que pour leurs préoccupations personnelles, les sempiternels problèmes auxquels l’on est sans cesse confronté (panne de réseau informatique…), des notes de frais qui ont du mal à passer auprès du service comptable, éloigner un collègue gênant sous un prétexte fallacieux afin de pouvoir passer ses coups de téléphone personnels à l’abri des oreilles indiscrètes…
Les dialogues sont désopilants de vérité et sonnent juste. Du reste le public ne s’y trompe pas une seconde et l’on rit du début à la fin des petits tracas qui arrivent à nos deux publicistes.
Olivier Billaud
18/02/2003

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La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
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