Victor l'enfant sauvage
de Compagnie Zaï
Mise en scène de Arnaud Préchac
Avec Arnaud Préchac, Gildas Préchac
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Du 11/01/2016 au 29/03/2017
Les mercredis et samedis à 15h30.
Le Funambule Montmartre
53, rue des Saules
75018 PARIS
Métro Lamarck Caulaincourt
01 42 23 88 83
Victor est un spectacle visuel tout public (à partir de trois/quatre ans) à destination d’un spectateur sensible aux images. Ce spectacle donne plusieurs lignes de lectures selon l’âge du spectateur.
C’est l’histoire étrange de Victor, un jeune homme qui du jour au lendemain se retrouve seul dans un monde qu’il ne connaît pas, un monde en deux dimensions que l’on perçoit sur l’enceinte d’un mur blanc et dont il parcourt la surface avec son ombre.
Seul, coupé de son espèce, notre personnage rencontre au fur et à mesure de son cheminement, des éléments et êtres fantastiques et abstraits, vivants et sauvages aux différents comportements: un monstre, des rochers mobiles, un souterrain, une balle verte magique.... Ces rencontres étranges sont retranscrites par la rétroprojection de la matière illustrative/plastique, avec lesquelles il communique avec son corps. En parallèle le son vient habiter ces lieux et ces situations par de multiples créations sonores et musicalités, qui sont également fabriquées en direct, par des mécanismes artisanaux et électroniques.
Comme un rêve ou l’intérieur d’un monde clos, Victor est abandonné dans un monde qu’il ne maitrise pas mais dans lequel il va devoir s’adapter petit à petit. Ce conte est librement inspiré de l’histoire de Victor, l’enfant sauvage abandonné très jeune par ses parents, et découvert à l’âge d’environ 10 ans en 1800, après avoir vécu seul dans une forêt de l’Aveyron. Ce sont ces six années (estimées) passées seul dans la nature, qui nous intéressent. En général, ce sont plutôt les années qui ont suivies sa découverte qui intéressent les auteurs et artistes avec la découverte du monde humain, et les questions sociologiques qui en découlent. En ce qui nous concerne c’est surtout la sensation et l’adaptation au monde sauvage qu’il nous intéresse d’évoquer.
Victor est un conte fantastique, où la perception sensorielle de l’acteur et du spectateur se confrontent aux autres éléments visuels et sonores (son et musique). Soit trois langages différents, le corps, l’illustration et le son.
Il s’agit d’une véritable aventure sans paroles, celle d’un personnage livré à lui même et à son propre jugement. Les tableaux de son périple varient au gré des sensations comme un film muet, les péripéties ne sont pas formulées mais se devinent et les personnages évoqués ont chacun leur façon d’être. Les dessins ou tableaux sont tantôt abstraits tantôt illustratifs et les sons tantôt atmosphériques tantôt musicaux. Un voyage en images, qui résonne au public comme un conte selon l’interprétation, l’imaginaire et la sensibilité de chacun.
Seul, coupé de son espèce, notre personnage rencontre au fur et à mesure de son cheminement, des éléments et êtres fantastiques et abstraits, vivants et sauvages aux différents comportements: un monstre, des rochers mobiles, un souterrain, une balle verte magique.... Ces rencontres étranges sont retranscrites par la rétroprojection de la matière illustrative/plastique, avec lesquelles il communique avec son corps. En parallèle le son vient habiter ces lieux et ces situations par de multiples créations sonores et musicalités, qui sont également fabriquées en direct, par des mécanismes artisanaux et électroniques.
Comme un rêve ou l’intérieur d’un monde clos, Victor est abandonné dans un monde qu’il ne maitrise pas mais dans lequel il va devoir s’adapter petit à petit. Ce conte est librement inspiré de l’histoire de Victor, l’enfant sauvage abandonné très jeune par ses parents, et découvert à l’âge d’environ 10 ans en 1800, après avoir vécu seul dans une forêt de l’Aveyron. Ce sont ces six années (estimées) passées seul dans la nature, qui nous intéressent. En général, ce sont plutôt les années qui ont suivies sa découverte qui intéressent les auteurs et artistes avec la découverte du monde humain, et les questions sociologiques qui en découlent. En ce qui nous concerne c’est surtout la sensation et l’adaptation au monde sauvage qu’il nous intéresse d’évoquer.
Victor est un conte fantastique, où la perception sensorielle de l’acteur et du spectateur se confrontent aux autres éléments visuels et sonores (son et musique). Soit trois langages différents, le corps, l’illustration et le son.
Il s’agit d’une véritable aventure sans paroles, celle d’un personnage livré à lui même et à son propre jugement. Les tableaux de son périple varient au gré des sensations comme un film muet, les péripéties ne sont pas formulées mais se devinent et les personnages évoqués ont chacun leur façon d’être. Les dessins ou tableaux sont tantôt abstraits tantôt illustratifs et les sons tantôt atmosphériques tantôt musicaux. Un voyage en images, qui résonne au public comme un conte selon l’interprétation, l’imaginaire et la sensibilité de chacun.
22/02/2017

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare
PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
de Jérémy ManesseMise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot

