Moi, Michèle Mercier, 52 ans, morte
de Marie Henry
Mise en scène de Anne Thuot, Raphaël Noël
Avec Yannick Duret, Cédric Lenoir, Natacha Nicora, Hervé Piron, Sophie Sénécaut, Mélanie Zucconi
Autour du cadavre de Michèle Mercier, trois couples gravitent, essaient de faire la lumière sur ce décès mystérieux.
C’est de loin la pièce la plus allumée qu’on ait pu voir, à ce jour, dans le Off. Une des plus originales aussi et certainement pas la plus triste. Au départ, un cadavre et trois couples de protagonistes : le fils et la bru de la victime, qui ont pour seul point de rencontre d’être à l’ouest tous les deux ; les voisines, pincemi et pincemoi, version schizo et, enfin, deux rats, experts anatomistes bavards et goulus. Tout ce petit monde commente, analyse et décortique, c’est le cas de le dire, le meurtre horrifique. Sur ce prétexte, s’organise savamment une déconstruction ébouriffée. Les narrations s’entremêlent et se télescopent bruyamment. L’espace est un ring que les acteurs traversent tour à tour, ou pas, le temps d’une passe d’armes survoltée. Musique, bruitage (en direct), lumière, accessoires, tout concourt à créer un maelström propre à laisser le spectateur essoufflé et pantelant.Mais ce cartoon frénétique est aussi une réflexion sur la subjectivité du discours théâtral, une recherche sur la mise en espace du jeu. Et, si tout fonctionne, si tout fait sens dans ce délire d’apparence, c’est que ce spectacle est véritablement une mécanique de précision, une horlogerie, explosive certes, mais dont tous les rouages sont parfaitement maîtrisés. Hors de toute improvisation, seul le jeu des comédiens s’exprime de façon débridée. Et comme cette liberté est d’essence joyeuse, il naît entre eux une connivence palpable et communicative. Voilà un théâtre qui s’efforce sérieusement de ne pas se prendre au sérieux. Le résultat est simplement jubilatoire.
Didier Dahan
23/07/2007
PARIS
Lucernaire
Mise en scène de GÉrard Rauber
Ce spectacle musical, orchestré par le génial metteur en scène Gérard Rauber, réunit un quatuor de talents exceptionnels pour nous emporter dans un voyage époustouflant à travers l’univers de Jean-Sébastien Bach ou en rapport à son œuvre comme cet étonnant et pétillant « 12345 »...
L'avis de Yves-Alexandre Julien
Lucernaire
PARIS
"Come Bach" : Un quatuor virtuose qui réinvente les classiques
de Gérard RauberMise en scène de GÉrard Rauber
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PARIS
Théâtre Poche Montparnasse
Entre scandale et subtilité : les Diaboliques à la barre
de Christophe Barbier D'Après Jules Barbey D'Aurevilly
Mise en scène de Nicolas Briançon
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PARIS
A la galerie Hélène Aziza
La folle passion de Franz Liszt et Marie D’Agoult
de Pierre Bréant
Mise en scène de Philippe Mercier
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