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L'amour est dans le prĂŞt Ă  vie de Jean-Luc Pecqueur
ComĂ©die     Environ 1 h 30



Cette pièce a la particularité d’avoir trois fins totalement différentes.. . En effet, l’acte IV change complètement selon la version I, II, ou III… . Sacré Marcel qui vit avec sa mère dans une toute petite ferme et voudrait bien changer de vie car son exploitation ne lui rapporte plus assez. Surtout, Marcel aimerait bien trouver l’âme sœur, mais sa mère, Eglantine, bien trop collante et trop maternelle est un vrai problème. Et ce n’est rien de le dire. Alors pour une fois ue c’est un agriculteur qui veut aller à la ville et pas l’inverse, tous les espoirs sont permis… Enfin, espérons car ce n’est pas gagné… Pourquoi donc a-t-il autant de personnes qui s’intéressent à lui : Sam, Louise, Paulette, Olivier, Julie, et, qui sait, d’autres encore ?

Note de l'auteur. TROIS fins différentes à partir de l'acte IV ???? . A vous de choisir celle qui vous convient le mieux

Cette fiche-théâtre a été enregistrée par Jean-Luc Pecqueur. Petit, on me disait que j’avais un « sacrĂ© caractoire ». L’école : elle ne m’aimait pas. Moi non plus. Tour Ă  tour serveur dans un resto, pompiste en station essence (oui), apprenti tĂ´lier. J’ai fini dans une imprimerie… Le plus intĂ©ressant fut celui de correcteur typo. J’étais payĂ© pour corriger des textes 55 h/semaine. J’ai lu ainsi 3 000 livres… Je ne lisais pas ce qui me plaisait mais ce qu’on me donnait Ă  corriger. J’en ai tirĂ© de grands bĂ©nĂ©fices puisque j’ai eu Ă  connaĂ®tre toutes les opinions. Y compris celles qui n’étaient pas les miennes. Ca forge un «caractoire» ! L’école, Ă  cĂ´tĂ© de ça, c’est de la gnognotte… En 2000 j’ai crĂ©Ă© une nouvelle troupe adulte avec 11 personnes qui n’avaient jamais mis les pieds sur une scène. On m’avait prĂ©venu : « si vous arrivez Ă  40 spectateurs, ce sera bien car les gens ne se dĂ©placent pas ici ! ». Nous avons fait 396 entrĂ©es ! Je n’avais pas envie de m’emmerder (c’est dans le dico) Ă  chercher des textes. Donc j’ai Ă©crit la pièce. Puis deux, puis trois et j’en suis Ă  presque 70. J’ai quittĂ© la troupe (il faut savoir partir Ă  temps) pour me consacrer Ă  l’écriture. En ces pĂ©riodes qu’on prĂ©tend troubles, il est important d’apporter le sourire Ă  ceux qui viennent passer une soirĂ©e amicale au théâtre. Ne les dĂ©cevons pas. Jamais. Enfin, si vous montez l’un de mes textes et que vous m’invitez Ă  l’une des reprĂ©sentations...