Un huis clos. Une famille en 2075 qui tue le temps en nous livrant leurs prĂ©occupations existentielles dans un monde Ă la dĂ©rive, notre monde. Une donnĂ© socio-Ă©conomique : le dernier des derniers pauvres est mort. Qu'en est-il? Que va-t-il se passer? Absurde? Genre : tragi-comĂ©die loufoque, Ă la mode Ă©ternelle Jarry les vices☺Lien principal, avec extrait :
[site]Note de l'auteur. JG Tartare, grand prix auteurs SACD 2015 :"D'abord il faut te dire qu'auteur de monologues, j'ai le plus grand mal Ă lire du dialogue... un peu comme le roman... compris l'un et l'autre je n'ai pas dĂ» lire vingt Ĺ“uvres dans ma vie... la raison en est sans doute que je prĂ©fère la rĂ©alitĂ© Ă la fiction, je ne suis donc pas bon critique. Ensuite Ă te lire, en tant que théâtreux, je suis frappĂ© par la vie, la vivacitĂ©, le rythme très enlevĂ© de ta prose, et mĂ©fiant comme un renard, j'y ai flairĂ© une manière leste de pousser du groin dans les dessous de l'humanitĂ©... De lĂ que dire si ce n'est fĂ©liciter... J'y sens de la 'Pataphysique, du Rabelais, du Jarry, de l'envolĂ©e surrĂ©aliste (Denis), façon de confier Ă la langue la mission de trahir les Ă©lucubrations de ce monde... Enfin je ne demande qu'Ă voir la crĂ©ation du texte sur scène... Petite question technique : mes monologues d'une heure font 5000 mots, ta pièce 20 000, dure-t-elle 4 heures ?Une lectrice, Sylvette Rousselle :Au dĂ©but c’est une famille père mère fils fille ça s’engueule ça s’interpelle on les imagine bien arpentant la scène en vocifĂ©rant en rigolant, une famille normale me direz-vous, peut-ĂŞtre mais un peu plus folle un peu plus farfelue et Ă ceci près qu’elle vit en 2075 et qu’elle passe son temps Ă parler d’autrefois du bon vieux temps oĂą on consommait Ă tout va oĂą on mangeait tout et n’importe quoi mĂŞme les animaux tiens! La famille se livre lĂ Ă une critique acerbe drĂ´le et bien mĂ©ritĂ©e de notre sociĂ©tĂ© ( l’entretien de non embauche est jubilatoire) jusqu’au moment oĂą l’annonce tombe comme un couperet, je ne vais pas la dĂ©voiler pour ne pas « spolier » comme on dit, la fin est excellente inattendue et cruelle Ă souhait nous ramenant Ă la dimension tragique de notre Ă©poque!Lisez la pièce de Christophe Huyghe faites la circuler parlez en critiquez la pour lui permettre de la faire.Zazou Boulou une autre lectrice :"Le dernier des pauvres" est une pièce, un huis- clos plus prĂ©cisĂ©ment, qui reflète parfaitement notre sociĂ©tĂ© et ses travers sur le mode de l'absurde. Chaque personnage a une profonde dimension, Zaza en tĂŞte 😊 et en fĂŞte 😁! C'est drĂ´le, tordu, Ă©mouvant et ... cruel tel notre monde. Une petite rĂ©ussite 😊
Cette fiche-théâtre a été enregistrée par Christophe Huyghe. Bonjour
Je suis auteur de pièces de théâtre et je souhaite les
faire découvrir. La première est déjà publiée...
IElles sont plutôt d'un genre loufoque et décalé,
avec des problématiques actuels. Le grand auteur
Tartare, grand prix 2015 SACD, a fait son premier
retour critique de ma pièce "Le dernier des pauvres":
" (...)Ensuite à te lire, en tant que théâtreux, je suis
frappé par la vie, la vivacité, le rythme très enlevé de
ta prose, et méfiant comme un renard, j'y ai flairé
une manière leste de pousser du groin dans les
dessous de l'humanité... De là que dire si ce n'est
féliciter... J'y sens de la 'Pataphysique, du Rabelais,
du Jarry, de l'envolée surréaliste (Denis), façon de
confier Ă la langue la mission de trahir les
Ă©lucubrations de ce monde... Enfin je ne demande
qu'à voir la création du texte sur scène... "(...)
Voilà de quoi sans doute susciter la curiosité. .
Je suis aussi en quête d'une troupe de théâtre
amateur en tant que comédien ou je propose aussi
pourquoi pas d'en créer une (4 personnes nous
sommes déjà deux), dans le nord de La France (59),
ceci pour pouvoir aussi mettre en scène mes textes
et les jouer..
voilĂ Ă vous de jouer..
A bientĂ´t. .
Christophe
Le texte est disponible chez Edilivre.56 rue de Londres 75008 PARIS
Email |
Site