|
Recherche par mot(s) clé(s) et/ou par distribution
|
Comédie dramatique
Environ 1 heure
1854. Vaudeville. Gaspard de Saint-Alban raconte à sa femme Eugénie qu'il a percuté violemment un réverbère en lisant dans le journal qu'Eulalie, la jeune femme de son ami Louis Dumonville, était décédée. En percutant le réverbère, la lanterne tombe sur une petite chienne qui pissait dessous et qui est tuée sur le coup. Louis Dumonville, le malheureux veuf, et Napoléon Malaparte, le propriétaire de la chienne cherchent à rencontrer Gaspard, mais tombent sur Eugénie et sur Augustine, la domestique, sans se présenter vraiment, et créant ainsi une confusion entre la chienne et Eulalie. Le quiproquo ne fait qu'évoluer jusqu'à rendre les situations invraisemblables devant un public témoin qui connait la vérité depuis le début. On voudrait intervenir pour aider les personnages qui vont s'embourber jusqu'à la fin de la pièce.
Note de l'auteur. Voici une pièce où le trait des personnages doit être grotesque à souhait. Le rythme et le comique de situation doivent dominer.
Cette fiche-théâtre a été enregistrée par Yves Krier. Eugène Fricotin, alias Yves Krier, exploite l'univers du
XIXe siècle où excellaient Labiche, Scribe ou Feydeau.
Fricotin fricote avec la famille de Saint-Alban en trois
pièces : "Le miroir aux alouettes", "Le billet", "Le crime de
Gaspard","L'empereur de la chine", "Le voyage en
Transylvanie", "Les cousins Lapluie", Le mariage de
Sophie", "L'entourloupe", etc... On y découvre Gaspard,
un bourgeois naïf et malheureux, ainsi que sa femme
autoritaire Eugénie ("Le miroir aux alouettes"), Sophie,
leur fille coquette et déterminée, et Octave, un charlatan
qui devient domestique dans "Le billet". "Le miroir aux
alouettes" a été jouée en été 2009 et remporta un vif
succès. La prochaine création sera "L'empereur de la
chine" pour l'automne 2017.