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Passe-moi le tournevis, Cynthia de Jean-Luc Pecqueur
ComĂ©die     Environ 1 h 45



Noémie est mariée à Manuel (Bichouquet pour les intimes) et dans leur pavillon tout neuf ils ont décidé d’installer une toute nouvelle et belle cuisine faite sur mesure… Géraldine, la mère de Noémie n’aime pas (comme toutes les belles-mères) son gendre et elle ne se prive pas pour le dire. C’est un abruti qui lui a volé sa fille. Non mais ! Cynthia, est, comme Aline, la meilleure amie de Noémie. Cynthia est vendeuse spécialisée dans la vente à domicile. Elle fait profiter ses clientes de sous-vêtements haut de gamme. D’ailleurs Aline ferait bien de l’écouter pour améliorer sa tenue vestimentaire, parce qu’elle n’a aucun goût. On touche le fond. Ce n’est pas comme ça qu’elle va trouver un mec. Quoique ! Ah, ah ! Mystère ! Claire Michu, la voisine d’en face est très gentille. Elle a juste un tout petit défaut : elle est très amoureuse de Bichouquet et ça tourne à l’obsession. Elle est vraiment capable de faire n’importe quoi pour l’avoir… Jacques Bouyne porte bien son nom. C’est lui qui doit installer la nouvelle cuisine vendue par Jacqueline, sa patronne. Il y a aussi les personnages étonnants que sont Clara Mayle, Claude Comtant et Marc Auraile… Du rebondissement, il va y en avoir. Attendez-vous à tout. Tout, et surtout ce qui n’est pas possible.

Note de l'auteur. Meubles de cuisine vieillots et déglingués.

Cette fiche-théâtre a été enregistrée par Jean-Luc Pecqueur. Petit, on me disait que j’avais un « sacrĂ© caractoire ». L’école : elle ne m’aimait pas. Moi non plus. Tour Ă  tour serveur dans un resto, pompiste en station essence (oui), apprenti tĂ´lier. J’ai fini dans une imprimerie… Le plus intĂ©ressant fut celui de correcteur typo. J’étais payĂ© pour corriger des textes 55 h/semaine. J’ai lu ainsi 3 000 livres… Je ne lisais pas ce qui me plaisait mais ce qu’on me donnait Ă  corriger. J’en ai tirĂ© de grands bĂ©nĂ©fices puisque j’ai eu Ă  connaĂ®tre toutes les opinions. Y compris celles qui n’étaient pas les miennes. Ca forge un «caractoire» ! L’école, Ă  cĂ´tĂ© de ça, c’est de la gnognotte… En 2000 j’ai crĂ©Ă© une nouvelle troupe adulte avec 11 personnes qui n’avaient jamais mis les pieds sur une scène. On m’avait prĂ©venu : « si vous arrivez Ă  40 spectateurs, ce sera bien car les gens ne se dĂ©placent pas ici ! ». Nous avons fait 396 entrĂ©es ! Je n’avais pas envie de m’emmerder (c’est dans le dico) Ă  chercher des textes. Donc j’ai Ă©crit la pièce. Puis deux, puis trois et j’en suis Ă  presque 70. J’ai quittĂ© la troupe (il faut savoir partir Ă  temps) pour me consacrer Ă  l’écriture. En ces pĂ©riodes qu’on prĂ©tend troubles, il est important d’apporter le sourire Ă  ceux qui viennent passer une soirĂ©e amicale au théâtre. Ne les dĂ©cevons pas. Jamais. Enfin, si vous montez l’un de mes textes et que vous m’invitez Ă  l’une des reprĂ©sentations...