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Je vais chercher Dupin de Jean-Luc Pecqueur
ComĂ©die  3 actes     Environ 1 h 30



Nouvelle version 2018 - Autres distributions possibles 6-3, 4-5, 7-2. Pourquoi faire simple quand on peut faire « compliqué » ! C’est vrai que lorsqu’on s’appelle Dupin et qu’on a un père boulanger, c’est mieux de ne pas s’appeler Benny… Mais c’est fait. C’est trop tard. Ajoutez un gazier très bizarre qui rôde, une belle-mère…. Ben comme toutes les vraies belles-mères quoi… Que de plus le pauvre Daniel, le copain pas très futé, a un accident qui paralyse la ville entière… Alors… Heureusement (ou pas), Romain le bricoleur est là pour calmer les ragots d’une Thérèse, commère notoire… Pourtant, il était beau le bouquet de fleurs…. Bref : pas simple ! Sinon ce ne serait même pas marrant ! C’est embrouillé n’est-ce pas… Ben oui, comme la pièce…

Note de l'auteur. Il faut délirer et se jeter grave dans le texte fait pour amuser

Cette fiche-théâtre a été enregistrée par Jean-Luc Pecqueur. Petit, on me disait que j’avais un « sacrĂ© caractoire ». L’école : elle ne m’aimait pas. Moi non plus. Tour Ă  tour serveur dans un resto, pompiste en station essence (oui), apprenti tĂ´lier. J’ai fini dans une imprimerie… Le plus intĂ©ressant fut celui de correcteur typo. J’étais payĂ© pour corriger des textes 55 h/semaine. J’ai lu ainsi 3 000 livres… Je ne lisais pas ce qui me plaisait mais ce qu’on me donnait Ă  corriger. J’en ai tirĂ© de grands bĂ©nĂ©fices puisque j’ai eu Ă  connaĂ®tre toutes les opinions. Y compris celles qui n’étaient pas les miennes. Ca forge un «caractoire» ! L’école, Ă  cĂ´tĂ© de ça, c’est de la gnognotte… En 2000 j’ai crĂ©Ă© une nouvelle troupe adulte avec 11 personnes qui n’avaient jamais mis les pieds sur une scène. On m’avait prĂ©venu : « si vous arrivez Ă  40 spectateurs, ce sera bien car les gens ne se dĂ©placent pas ici ! ». Nous avons fait 396 entrĂ©es ! Je n’avais pas envie de m’emmerder (c’est dans le dico) Ă  chercher des textes. Donc j’ai Ă©crit la pièce. Puis deux, puis trois et j’en suis Ă  presque 70. J’ai quittĂ© la troupe (il faut savoir partir Ă  temps) pour me consacrer Ă  l’écriture. En ces pĂ©riodes qu’on prĂ©tend troubles, il est important d’apporter le sourire Ă  ceux qui viennent passer une soirĂ©e amicale au théâtre. Ne les dĂ©cevons pas. Jamais. Enfin, si vous montez l’un de mes textes et que vous m’invitez Ă  l’une des reprĂ©sentations...