Gaston est le chien de Suzanne Wagner, une riche industrielle ayant fait fortune grâce aux Chocolateries Wagner. Quand elle meurt, c'est son fils, Christophe, qui hérite de ce chien, et Gaston hérite de la fortune de Suzanne, soit 2 168 033 euros. Seulement, quand Gaston se fait enlever, c'est la catastrophe ! À cause d'une journaliste prête à tout pour le buzz, d'inspecteurs incompétents, d'une commissaire de police en manque de notoriété et d'un pseudo super-héros, cet enlèvement va prendre des proportions inattendues...

Note de l'auteur. La distribution est modulable : les rôles de Franck, Yvette et Nadine peuvent changer de sexe. Il faut aussi prévoir un figurant pour le rôle muet de Bobby, le caméraman. Il existe deux versions de cette pièce : une pour 8 personnages, et une autre pour 6 personnages, où les rôles des inspecteurs et du commissaire Blanchard ne font plus qu'un.

Cette fiche-théâtre a été enregistrée par Benjamin Van-Effenterre. Passionné de théâtre et d'écriture depuis des années, un concours de circonstances m'a donné envie d'écrire une première pièce en 2013 et, depuis, d'autres ont vu le jour. Ne manquant pas d'idées et d'inspiration pour la suite, je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin ! Ma source d'inspiration ? Ce que j'entends, vois, ou lis au quotidien ! Je n'ai pas de sujet de prédilection, j'aime parler un peu de tout et, du moment que cela fait rire, c'est tout ce que je demande ! Avec une cinquantaine de représentations dans toute la France (Vendée, Maine et Loire, la Manche, Paris, Bourgogne etc...) et aussi en Suisse, je n'écris que pour une chose : faire rire et divertir le public, mais aussi les comédiens qui sont rentrés dans la peau de ces personnages haut en couleurs que j'aime inventer. Natif du 49 à quelques kilomètres d'Angers, je fais également partie d'une troupe de théâtre amateur depuis maintenant sept ans, et c'est aussi grâce à elle que je me suis lancé dans l'écriture de pièces de théâtre. « Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les acteurs. Et notre vie durant nous jouons plusieurs rôles. » William Shakespeare